Je suis Ce Je Suis, mémoire de la vie, j’accompagne l’implosion et je la reconduis à la science du moment. Dans l’amour puissant de la fusion exceptionnelle de l’Éternel envers tous les vivants je dis qu’il y a un monde dans l’implosion du « Je Suis », un monde qui rencontre la vie.
Tu sais pertinemment bien que je ne suis pas ce que tu crois que je suis. Tu te poses des questions, mais tu ne te réalises pas dans la foi. Tu n’as pas confiance – confiance en toi, en moi. Tu es toujours dans le doute, et l’incertitude te conduit à l’incompréhension des mondes. Il faut donc se servir des mémoires du passé pour reconduire le bon fruit à l’éternité. Le passé, c’est la science. C’est la science de la révélation du second degré de la magnificence solaire. Cherchez dans l’univers où est l’implant généreux du souvenir.
Écoute. Quelques fois tu es dans la majestueuse énergie de la vie et quelques fois tu te retournes et tu t’en vas. Pourquoi ? Tout simplement parce que le doute t’accapare et que tu te bloques naturellement au niveau de la conversion. La peur t’étrangle, cette peur constante et permanente qui vous habite te détruit et tu n’es plus dans la vraie vie. Le monde de l’illusion t’accapare et tu es dans la maladie, la maladie de l’esprit, la maladie qui tue, la maladie qui détruit. Tu dois prendre conscience que tu n’es pas seulement dans l’état don, mais tu es aussi un Esprit vivant qui te porte continuellement vers l’accès à la vacuité.
Jésus-Christ était un homme, un homme conscient de la grisante énergie de la vie, qu’il a sue dominer pour accéder aux différents plans de consciences des moissons, mais tu peux en faire autant. Tu peux être un Jésus conscient. Tu peux être un Esprit vivant. Mais tu ne veux pas faire l’effort de sortir de l’illusion. Tu es dans l’inconfort et tu le sais, mais cet inconfort te convient pour ne pas faire d’effort et aller vers l’illusion sans être contraint.
Tu vois, c’est cela votre vie sur la Terre. C’est pour apprendre à devenir un Jésus, un Jésus où le Verbe s’accomplit. Tu as tout ce qu’il faut pour cela, mais il te manque la volonté, l’effort et la condition de la parabole qui, elle, est soumise au blocage que tu lui as soumis par la raison. Tu n’aimes plus la vie, tu ne t’aimes plus. Tu as peur de la mort. Tu n’es pas dans la vie. C’est une question de conscience. Si tu ne veux pas avancer vers la lumière dorée, vers le linéaire qui t’attend constamment, qui te permet de vivoter, alors, nous ne pouvons rien pour toi. Il faut que tu puisses te réaliser. Être sur la Terre, c’est l’expérience de l’explosion dans la maturité du juste et bon, mais qu’en as-tu fait ? Tu fais la guerre, tu domines, tu rends tes frères esclaves, qui es-tu ? Qui es-tu ? Ton orgueil te tue et tout cela engendre évidemment toutes les difficultés que vous connaissez.
Je ne suis pas ce que vous croyez. Je suis simplement le principe adapté à la circonstance, pour toutes et envers toutes rencontres. Tu m’as mis de côté, tu as voulu me démontrer que tu étais grand, puissant, mais malheureusement tu es tout petit. Tu es comme un enfant venu au monde sur votre terre. Tu vois, nous t’expliquons. Nous voulons t’honorer, te glorifier, nous voulons te soumettre aux dictées de l’enseignement très élevé dans sa simplicité, mais tu ne veux toujours pas écouter. Pourquoi ?
Tu n’es pas aussi grand que tu le crois. Si tu étais grand et puissant ton monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. Tu comprends ? Vous avez développé tous les mauvais côtés de votre réalité. La jalousie, l’orgueil, l’égoïsme, la domination, la gloire, tous ces mouvements sont très fortement développés sur votre Terre. Mais voilà, que pouvons-nous faire ? C’est toi et toi seul qui peut changer ton monde. Si chaque univers, chaque vivant prenait conscience de ce qu’il est, le monde serait grand et puissant, la Terre serait éclairée et en paix. Mais regardez votre Terre aujourd’hui, regardez votre monde. Vous êtes agressifs, excités, jaloux, vous voulez tout sans faire d’effort, sans vous donner la peine d’ouvrir une porte pour engendrer une mémoire supérieure à la vôtre. Si seulement vous pouviez comprendre, vous ne seriez pas dans ces états que je viens de nommer.
La brise légère d’un vent conducteur peut animer votre cœur de la vérité du bonheur. Je vous aime. Réfléchissez mes enfants, la rencontre doit s’effectuer. Avec tous les éléments de destruction que vous avez démontré, vous recevrez votre création, afin de tout illuminer et de recréer un champ d’action positif au pouvoir illimité.
Je vous bénis au nom de la Sainteté. Amour et paix.