C’est le moment pour toi de te régénérer, de prier et de t’agenouiller

Regarde le beau ciel bleu, il a la couleur de tes yeux.
Regarde la vacuité, elle est présente, elle exauce tes vœux.
Crois à la lumière qui t’habite, car c’est la mémoire qui jongle avec ta vie.
As-tu appris les leçons données ? Les as-tu appliquées ?
Car je voudrais t’y conduire maintenant.

C’est le moment pour toi de te régénérer, de prier, de t’agenouiller et assis sur la rencontre tu pourras être porté vers le sentiment vrai, qui t’emportera vers les univers lointains pour finir entre tes reins. Tu m’as donné la vie, l’amour, la connaissance, mais toujours très limité par un raisonnement exacerbé. Comprends bien ce que tu dis. Comprends bien ce que tu lis. Cherche à voir au travers de ton infini où est l’Esprit de vie. Qui t’a donné la vie ? Que te réjouit aujourd’hui ? Qui te guérit ? C’est moi, l’amour, que l’ange Gabriel te soumet toujours.

Un tronc d’arbre peut se dessécher, mais en vérité est-il vraiment mort ? Il est, ce que vous appelez dans le mouvement de ma vérité, l’exemple. Au printemps, une petite feuille peut se montrer et grandir dans la vie. Toi, tu peux recommencer pour vibrer en d’autres circonstances, car le moment présent est l’unité qui te rappelle mon sentiment.

Je ne suis pas ce que tu crois que je suis. Je suis l’amour en communion entre le Ciel et la Terre pour régénérer vos univers. M’as-tu interpellé ces jours-ci ? M’as-tu demandé de venir t’aider ? As-tu pris conscience de qui je suis ? Afin que tu puisses porter le même Esprit, ne m’abandonne jamais dans le tourment de tes pensées. Reviens toujours à la moisson et tu ne seras pas condamné. Oui j’ai des mains, j’ai des pieds. Oui j’ai un corps de chair, oui j’ai un sang qui se renouvelle constamment et toi, qu’as-tu à me donner ? Plaisirs et joies sont des sentiments dans la confiance de l’amour sans condition et toi tu pleures, tu gémis et dans cette insatisfaction tu ne peux reconnaître la vie dans la connaissance du « Je Suis Ce Je Suis ».

Maintenant tu comprends que dans la conscience de lumière je suis votre Père, votre Créateur qui domine vos cœurs tant que vous le désirez vraiment. Mais le jour où vous me quittez, vous tombez dans les faiblesses, dans les maladies et les mauvais traitements. Pourquoi tant d’abondance dont vous ne profitez jamais ? Pourquoi ne voulez-vous pas faire un effort pour vous relier au Sacré ? Oui, aujourd’hui je me nomme Marie, je suis l’Esprit qui guide vos pas vers votre nouvelle vie. Accepter de mourir, c’est aussi s’allonger et dans l’incandescence du volcan se soumettre à de bonnes actions. Par le biais des initiations données, la combustion, la complaisance, peuvent montrer le bout de leur nez.

Dessine moi un mouton. Veux-tu comprendre qui je suis ? Dessine moi un mouton et tu comprendras qui tu es.

Sur le dos, chargé d’émotions, ton Tout est souvent malmené, car tu es toujours dans les mauvaises actions. Applique l’enseignement, ne t’en détourne jamais et dans la confiance assurément, penche-toi pour laver tes pieds. Tu dis que tu m’aimes, t’aimes-tu pour commencer ? Réalise-toi dans le mouvement du cœur Sacré et dans cet apprentissage envers la vie, retrouve-moi dans le soleil de Jésus, lumière pour tout univers sur la Terre comme au Ciel.

Un jour, un petit oiseau est tombé du nid. Il ne pouvait plus bouger il ne pouvait plus se nourrir et la peur l’accaparait, il savait que la mort allait venir le chercher. Puis un enfant s’est baissé, l’a pris entre ses mains et lui a dit qu’il allait le soigner. Le petit oiseau s’est guérit de ses plaies, car l’amour était présent et puissant. Le petit oiseau s’est envolé vers de nouveaux horizons, sans se retourner sur le passage de son amour Jésus. De grandes émotions, il a eu, mais en fin de compte tout s’est bien terminé, car un petit élan amoureux a touché son cœur Dieu. Et c’est ainsi qu’est la vie. Tu trouveras sur ton chemin des diamants, mais aussi de grandes blessures qui viendront découdre les boutons des moissons. Alors, ne te laisse pas aller. Garde confiance, je ne te quitterai pas. Je ne t’ai jamais quitté et c’est ainsi que je resterai à tes côtés pour ton éternité. Viens, viens petit enfant blessé. Viens que je puisse guérir tes plaies, ainsi, tu pourras t’envoler vers la Mère des mondes qui pourra t’enlacer de son amour incandescent. Je te bénis cher enfant. Prends conscience que l’amour de Dieu est omniprésent dans la connaissance de l’Être.

Amour et paix. Bénédictions.

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