Le Verbe dans la convenance de l’Être est grand dans la convenance de mon sang. La mémoire Sainte s’est déposée dans la moisson de Marie en lumière pour la Terre. Le cœur du Verbe est manifesté dans le souvenir de la conversion et c’est ainsi que la mort est une rencontre avec l’amour du Manifesté. C’est ainsi que je dis : la Divinité du Verbe est mon amour infini pour tous les vivants des univers, sur Terre comme au Ciel.
Jésus m’a visité dans mon entièreté et m’a conduit à la convenance vers la simplicité du Maître des mondes. Si je suis béni par le Verbe qui s’accomplit, dans le cœur de la nuit je serais dans la Présence des Mondes. Je me soumets à la volonté de mon Saint Père qui m’a donné la moisson que je dois corriger, par l’exemple de l’Esprit de ma paix.
La mémoire de Dieu est dans la connaissance du noyau cellulaire qui, dans son infiniment petit, a construit la conscience de l’Être. L’amour du messager est dans la litanie de la vie majestueuse. Sous les effets des transformations et des rencontres, la mort est dans l’amour de Dieu. Que toutes les consciences soient éclairées par ses Cieux. Je Suis la genèse de la vacuité. Ainsi renouvelé par la mort, je dis que l’amour est l’exemple du « Je Suis vivant parmi les vivants » où j’accomplis la mémoire des mondes qui, manifestés, reconduit le bon fruit à la lumière Sacrée.
Amours, amour, amour, lumière, magnificence du Pouvoir Saint.