Je suis le poumon sacré de Marie, venu exprimer un enseignement plein d’intentions.

Doucement je vous le dis, le Maître est là. Dans l’enseignement du messager Christ, le souffle soumet la vie qui permet à tout univers de recommencer selon la genèse. Cet enseignement apporte le don volontaire d’une mémoire consciente de la complaisance, mais qui n’a rien à voir avec l’exemple du Soi. Permettez-moi d’ouvrir les portes de la conversion qui dans le parallélépipède s’est posé depuis des milliards d’années. Un souffle conducteur vous permet d’être l’aspect vivant qui relit l’éclosion du changement au devoir sacré qui est l’exemple (l’évidence). C’est dans ce mouvement que la vie se réincarne dans la lumière solaire. L’exemple est la moisson originelle du « Je » qui selon l’instant et la circonstance s’établit entre Ciel et Terre. L’empathie est un savoir inné qui construit la vie selon le degré de conscience du juste en Soi. C’est à partir d’une petite graine qui grandit que la ressemblance mariale se meut. C’est en réalité sur le pont manifesté dans le linéaire que l’on peut comprendre l’équation cérébrale du « Je Suis ». Vous n’ignorez pas que le divisible est en action de grâce continuellement. La convenance adaptée au « Je Suis Ce Je Suis » est majestueuse en tous Cieux. J’ai des mains, j’ai des pieds, un corps de chair, qui suis-je ? J’aime la vie qui m’épanouit, qui suis-je ? Le Divin s’impose où l’Esprit volontaire dans la présence agit. C’est ici que je me présente. La conscience du divisible est une mémoire de simplicité qui consent à voyager au travers du temps en se posant dans la matière pour que l’implant de la vie se régénère naturellement. L’épie de blé ne peut s’élever que s’il est bien nourri et c’est sur une terre fertile que l’on peut semer. C’est l’ignorance qui vous soumet à une création de difficultés. Cherchez la clé de l’ouverture vers la vraie vie et glissez-vous dans cette belle énergie qui vous conduit à être des enfants de rencontres avec Moi.