Le verbe est une offrande d’amour marial, mais c’est aussi un conducteur de la genèse.

Alors, pour que la parabole se remplisse de mouvements adaptés, il faut que le jugement ne soit plus présent. Rapporter l’offrande au salut éternel est une condition mémorisée par la souffrance du Père dominant Mère. C’est dans cette réalité que le linéaire peut démontrer la volonté exemplaire du minerai doré, en Soi, en amour et en moissons.

Cultiver l’avènement du verbe est amour, messager de l’interaction entre le Ciel et la Terre, sans encombrement. L’amour de Dieu se présente ainsi dans la vérité profonde de la mort pour la vie. Je Suis donc l’offrande messagère du « Je Suis », selon l’implosion du moment. La mort est un équilibre, l’amour est son implant où le majestueux de Dieu est un fait spontané du divisible parfait. C’est un implant dépendant de Dieu, culture biologique du Je Suis et des moissons implantées selon le moment.

Il ne faut pas croire au messager qui dépend uniquement d’un cœur circonstanciel immortel. En effet, celui qui crée un mouvement mal adapté ne peut croire qu’à ce qu’il a créé dans une mémoire offrant l’intelligence de la moisson des dégénérés. Il est donc important de reconnaître en Soi l’évidence d’une offrande naturelle dans le sang vivifiant et régénérant du Je Suis bon. La mémoire de Marie est une implosion qui vous sourit quand le Tout vivant est soumis. Voilà pourquoi nous insistons sur la moisson de Dieu. Prenez conscience que Marie est amour de la médecine solaire où l’univers de la mort s’inscrit.

Bénédictions, lumière du messager Jésus, moisson pour tous linaires dans sa résurrection. Amen.

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