Renaître de ses cendres n’est pas un don, mais une vérité.

Chaque jour je meurs. L’immortalité est une science pour toutes moissons complaisantes. Dans le verbe marial, l’Implosion est mon sang. Dans cette réalité la mort est aimante et consciente ; elle permet à la vie de recommencer. Tout est une question de générosité envers la vie. Tout est une question solaire où le mérite s’accomplit. C’est dans le souffle des moissons que la mort est impliquée où dans l’implant de Marie tout peut se recréer par le pouvoir aimant. Les messagers du monde de lumière sont dans la complaisance du même Esprit et ne peuvent qu’accomplir le juste en Soi. Dans toutes moissons Jésus est réactionnel, intentionnel et messager de l’Unité en conversion. Ce qui dénote d’un souffle puissant invoquant l’exemple dans une réalité où le verbe s’accomplit. Si le verbe est un monde de vacuité, c’est une connaissance partagée pour que le mouvement Règne de Dieu soit dans la genèse du verbe. Il ne faut jamais établir la loi des hommes dans un mouvement réfléchi, mais aller vers la loi du linéaire pour que le combat soit avec Yahvé non la guerre mais la paix. C’est l’intention dans l’implication qui permet d’offrir le bouleversement ondulatoire de l’univers. La science des mondes est une onde volontaire qui doit dans l’implosion intentionnelle se révéler éternelle. Le mouvement est un divisible de l’indivision, c’est une implosion régénératrice d’une offrande juste pour tous.

La loi est messagère pour tout univers. L’implosion du réel marial est une offrande de mémoires solaires qui conditionnent la vie pour que la mort soit dans l’éternité du Je Suis. Le mouvement de la moisson offre à Marie l’éternel recommencement. Le majestueux de Dieu est dans une révolution solaire où tout est inscrit dans le souvenir marial et dans l’éthique. Je vous le dis, mon sang est dans l’implosion, mon amour dans l’exemple et mon souffle dans la mémoire du temps. L’immortalité est une cadence qui permet au « Je suis ce Je Suis » une conscience éternelle par les mémoires du souffle conditionné pour aimer : « Je meurs pour vous sauver ». Certes, les hommes sont malades, naturellement par une condition de mal-être, d’infantilisation, dans une mémoire conditionnée par l’appel de l’intérêt. L’homme doit combattre la surconsommation, la séduction, l’attrait néfaste de la vie et surtout la souffrance qui émerge d’une condition de doutes et de peurs qui figent la Vie.

Si tu veux me rencontrer, tu dois poser un pied dans la genèse afin de recommencer. Si tu veux marcher dans la vie, ne t’encombre plus de soucis. Si tu veux que le mouvement soit adapté à l’instant, mange léger et purifie ton sang et tu pourras évoquer mon Nom dans l’implant régénéré par l’acte du don. Je veux que ton Tout soit honoré pour participer à la vie. Tu ne dois jamais oublier de te respecter et ne plus vivre la séparation des mondes. Tu dois intégrer les enseignements de la moisson génésique, te retourner vers la science pour comprendre que l’évolution est une rencontre mariale avec les univers de la vie. Ainsi, tu seras la lumière du verbe qui s’accomplit. La maladie du verbe se place dans ton esprit. C’est la mort qui te conduit pour aller vers la vie et c’est la volonté qui permet à la lumière, volupté du Je suis, d’être messagère du pouvoir de l’éthique.

Je Suis Dieu, Conscience du Verbe, le Moisson d’origine. Amour et paix, soyez bénis.

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