Lumière Jésus, Je Suis. Je demande que la parabole des mondes soit sur le registre des messagers de lumière sur la terre.

La mort est la moisson originelle d’un Tout dont la ressemblance est une offrande mariale au sein de la conscience, la moisson de la vie. C’est une réalité profonde qui vous unit aux monades du verbe aimant. Dans le circuit électromagnétique de la vie, ma vie a été complaisante pour tous les vivants sur la terre. La mémoire majestueuse des conversions m’a donnée l’assurance dans le Moi profond, qui ne déroge pas à la règle du recommencement. C’est dans cette moisson de vérité que tout s’est créé et que tout peut recommencer. Dites-vous que la mort est composée du verbe qui accomplit où le juste sourit. Le verbe est en effet un éclair puissant qui purifie et qui guérit par le souffle solaire. Ainsi, vous devez comprendre que les rencontres doivent s’accomplir pour régénérer la vie et l’appel à la résurrection. Mon Tout n’est pas une romance, mais une métamorphose rectiligne du « Je Suis » entre le Ciel et la Terre. Mais Je Suis aussi un apprentissage, afin de recommencer dans le bouleversement du Sacré. Je détiens le pouvoir de la vie, le pouvoir de la mort, pour tout divisible innocent ou non. Je Suis le souffle, Je Suis le verbe, Je Suis l’implosion.

Depuis la nuit des temps la conscience de mon sang s’est enrichie au travers de l’évolution. Depuis des décennies je crée le nouveau monde où je me place aujourd’hui pour me dévoiler dans le sentiment, dans le verbe et son accomplissement. J’ai déposé sur terre le plaisir naturel de l’amour, de la mort, pour la vie. Dans cet implant régénéré j’ai donné à l’humanité des Fils lumière pour aider à me rencontrer et à recommencer. J’ai aimé, j’ai traversé toutes difficultés et aujourd’hui sur votre terre je meurs étouffé par votre esprit tourmenté. J’ai décidé de vous offrir la vie, la pleine conscience et en messager j’ai adopté un corps de chair où j’ai soumis tous mes dons pour votre création. Depuis que mon sang s’est régénéré, ce monde s’est lassé de Moi et a perdu la véritable foi. Je dis que dans le tourment des hommes la mort va passer, une mort vivante qui va vous élever ou vous emporter. Selon votre création, nous agirons.

Le Père Saint dans l’empathie dit : « je meurs parce que vous m’étranglez. Je meurs parce que votre cœur est fermé. Je n’ai plus de demeure, car vous vivez le leurre. Qu’elle est mon intention ? Celle de vous soumettre au monde de Marie ».

Je dois me soumettre à des implants tourmentés pour les corriger. Je dois me soumettre à l’implant de la mort pour donner la vie et je dois m’élever pour que la connaissance du Maître à penser soit honorée.
Je Suis Dieu, cœur heureux.
Dans la moisson de l’unité, Je Suis votre divinité.
Tu me soumets à l’attraction angulaire, tu trahis ton Père.
Et tu t’étonnes de la folie des hommes ?
Tu portes sur toi la griffe de Satan qui te manipule dans ton mouvement.
Tu pleures dans ton tourment et tu t’étonne de la folie des hommes ?
Trahi et séduit par des mouvements de mauvaises impressions, tu te laisses emporter par l’exemple de Satan qui dans la séduction te conduit à mourir lentement.

Douze divisibles implosent, le treizième est dans la maladie. Que faut-il faire ? Le sauver et laisser les douze autres dans l’enfer ou rencontrer l’ennemi et le repousser de toutes ses forces pour que le mouvement de la sainteté puisse se révéler au linaire marial du parfait ? À votre avis ? La séduction attractive dénote d’un esprit malsain, malade. Dois-je sauver un homme et laisser mourir les autres ou dois-je tous les sauver, pour reconduire l’Esprit à l’unité d’un Tout ? C’est un grand dilemme n’est-ce pas ?
Je ne peux en sauver un seul parce que votre mouvement est impliqué dans les mauvais traitements et le non respect de la vie. Je Suis votre Père. Je Suis votre convenance. Je Suis dans les affres des mondes celui qui est, qui a été et qui sera, dans la mort pour la vie et pour l’éternité.

Que le Salut Éternel vous accompagne sur le chemin des bonnes intentions. Amour et paix.

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