Le Monde Marial est la science du Pouvoir.

La conscience du messager se dévoile aujourd’hui à toute l’humanité où l’Esprit de la complaisance agit. L’exemple du messager est dans le feu de la conversion qui se soumet aux transformations. Dans ce bel amour, l’homme-singe doit s’accomplir dans le verbe et se soumettre à la conscience de l’instant pour évoluer vers le temple sacré du Dieu vivant. C’est en rencontrant l’Esprit marial qu’on arrive au mouvement adapté d’une création renouvelée. En se posant sur le sol solaire où la source s’est développée, la Volonté a déclaré ceci : « je vous donne mon sang, je vous donne dans le mouvement le verbe, la conversion et un ventre fécond ». Jusqu’ici l’humanité est dénuée de complaisance et dans l’acharnement a tout séparé pour dominer.

Le Père et le Fils se sont unis et dans le cœur de Marie se sont posés dans l’éclosion majestueuse de Dieu. Le ventre fécond, elle s’est développée pour que la complaisance et la conversion puissent être naturelles, sans artifice. Les hommes ont déchiqueté le mouvement de cette vérité et se sont laissés aller à des conditions de protestations, de mal-être, dans la domination, où le concept de Jésus-Christ a été rejeté. Une romance s’est posée et le Maître à penser a perdu pied. Un Tout malade, déformé, vous a conduit à être dans la souffrance où les émotions se sont limitées à un souffle coupé. Lorsque le poumon de Marie est desséché, atrophié, il ne faut plus espérer retrouver la santé. « Quand le pot à lait est plein, il déborde », et il en est ainsi pour votre monde. La mémoire des hommes va s’amenuiser et son monde marial ne verra plus la lumière cachée qu’entre deux mondes. Ce monde ne se soumet plus à la grisante énergie de la vie. Les guerres et les actes intéressés se sont placés. En vérité, tous les excès sont dans les monades de mon sang. Je meurs, pour vous sauver, je meurs pour vous délivrer, je meurs pour que le monde des hommes-singes puisse retrouver la paix. J’aimerai que l’homme-singe puisse renaître à la vie et arrête d’aller dans tous les sens sans trouver le chemin éclairé. Ils sont comme des fourmis que l’on a dérangées, mais je sais que l’homme reviendra au but fixé, seulement quand il sera prêt.

Que tous les êtres humains puissent se tourner vers la croix d’olivier pour l’honorer dans la gloire du Père Saint et l’offrir à la lumière solaire, éclairés par la sainteté et l’amour de Dieu en puissance. Je vous le dis en vérité, mon nom est Amour. Je donne et je corrige quand c’est nécessaire, afin que vous retrouviez le meilleur pour votre bonheur.

Je vous bénis au nom de l’implosion sublime.

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