Mon nom est Dieu, créateur de toutes choses sur Terre comme au Ciel.

Je Suis la force volontaire. Je Suis le verbe qui s’accomplit, la Présence consciente de Jésus, mémoire de l’inconscient. Dans la circonstance et le moment, Je Suis la vie, Je Suis l’amour. Dans la parabole, Jésus-Marie-Christ-Dieu je prends part aux événements de votre monde et je dis que la guerre, les violences et les plus basses vibrations sont dans le dessein de Père pour donner de grandes leçons à l’humanité. Dans la présence je veille sur tous mes enfants et dans la complaisance j’agis. Parfois je suis très complaisant, parfois je vous parle sévèrement. Le roi et la reine sont manifestés et sur le portement de la croix, ils se sont posés en tant que Maîtres dans la ferveur du cœur qui prie. Ce cœur c’est Jésus-Marie où la soumission est en action devant la moisson des mondes.

Quand comprendras-tu que la mort converge vers la vie ? C’est l’ivresse du divisible qui croît dans l’implosion du messager que tu es. Tu vis l’empathie, mais tu la renies ! Tu pleures sur Lui, mais tu ne lui donnes pas la vie ! Tout est manifesté, mais aveuglé tu ne vois rien ! Qu’est-ce qui t’a pris de transgresser ma loi ! Tu délaisses ta patrie qui est celle de Marie, tu la tues et tu l’implores en même temps. Qui es-tu messager ? Moi qui croyais que tu te dirigerais vers la paix. Insolent, tu déverses l’injustice sur tous les flancs de ma vérité et tu crois avoir toujours raison. Saches bien que quand tu t’écartes de moi, tu trouves les épines et les ronces qui te blesseront jusqu’à ce que tu sois anéanti, dénudé complètement pour pouvoir recommencer. Alors, réfléchis avant, messager, au désordre que tu me soumets. Souviens-toi du verbe marial et agis.

Bénédictions, lumière de la moisson, Je Suis.

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