C’est l’implant de la résurrection qui permet au souffle de Dieu dans le verbe de s’accomplir naturellement. C’est la mémoire de la mort qui donne la vie où la parabole s’enrichit. Nous constatons que le mouvement s’est figé graduellement par l’implosion de l’insoumission. La graine semée n’a pas atteint le verbe et s’est éteinte dans le cœur de l’homme. Oui, naturellement nous devons obéir à la loi, connue sous le nom de Marie. Oui, nous devrons dans l’amour pour Lui retrouver la puissance de sa Présence. Nous sommes manifestés par le don créateur de tous les mondes composant l’essence de vie jusqu’à aujourd’hui. C’est la maturité qui nous conduit à être vivant, c’est la mort qui nous donne la vie, c’est le verbe qui s’accomplit. Nous sommes la moisson qui se soumet à toutes les éventualités. Nous sommes changement, bouleversement, nous sommes l’avènement de Marie, puissance créatrice du Je Suis. Le mouvement est solaire, le juste est dans chaque univers où le verbe accomplit. Je vous le dis en vérité, Je Suis ce Je Suis, Marie bénie. Le mouvement est l’accueil de la résurrection, le moment présent est l’Esprit Saint. Le majestueux de Dieu est ici sur terre et dans le ciel, comme un père pour l’unité qui doit être retrouvée. Je vous le dis Je Suis Père, Mère, évoluant vers tous univers pour que l’offrande du juste soit mariale. Votre destinée est ce que vous créez. Je vous conduit au bon berger. Que tous y soient rassemblés. Le bouleversement est dans l’instant présent. Le cœur de Dieu est pardon où l’amour est sans condition. Je Suis Marie Christ dans le verbe qui s’accomplit où je vous bénis.
Amour, paix et harmonie.