L’amour de Dieu convertit, la lumière éclaire le « Je Suis » et dans le souffle de Dieu je guéris.

Je Suis ce Je Suis dans l’implant de Marie et je vous le dis la mort enfante la vie. Je Suis le majestueux de Dieu qui se reconnaît en chacun par le bouleversement innocent et naturel des moissons. Je vous le dis, assumez vos responsabilités, reconnaissez-vous dans la loi naturelle de Marie et ne vous laissez plus dominer par le mauvais côté de la pensée. Le messager du verbe s’accomplit lorsque le pouvoir et la volonté se soumettent au divisible de l’inconscient juste et bon pour tous vivants. La mort est ma condition, la vie est mariale dans le don et la convenance du messager est celle que vous créez par l’intervention des mouvements envers la moisson. Si tu te laisses dominer par les mauvaises vibrations, tu n’es plus dans la volonté ni dans le pouvoir, mais dominé par ce que tu crées dans l’implosion néfaste des mondes de la vie. Le majestueux de Dieu est dans la science de la connaissance d’un monde élevé où tout est donné. Je meurs dans la souffrance volontaire où j’accède au niveau conscient du verbe dans son accomplissement. Je Suis le verbe dans le cœur de Marie et je viens témoigner pour que vous soyez manifestés dans la moisson régénérée vers l’accès à ma vérité. Je vous le dis, Marie est dans la forme de ma volonté et dans cette disposition elle doit donner, semer et offrir la vie. C’est ainsi que la foi envers ma loi se montrera pour vous délivrer de vos attitudes, de vos comportements et de vos actes. C’est dans un Esprit de paix, volontaire et convertissant que je viens pour honorer la gloire de mon Père en tous vivants, en tous univers. Pour vous délivrer de l’état glacial que vous me montrez, priez pour votre pardon, priez pour votre implosion. Tout ce que vous créez est un univers figé accusant Dieu de ne pas vous relever. Il vous soumet à des états explosifs pour que vous puissiez comprendre que la conscience des moissons n’est pas dans le rejet, mais dans l’absolue vérité.

Je vous le dis, le mouvement de séparation doit être annihilé pour retrouver la renaissance et la complaisance dans les cœurs dissipés où l’implosion détourne de la vérité. Je vois l’homme descendre dans le monde des enfers, je vois l’homme dominé par le mal où l’inconfort se pose dans le confort. Séduit par la parabole dominante de l’intérêt, l’homme consent à y rester. C’est pourquoi je viens dans le verbe qui s’accomplit déposer le bon fruit afin qu’il mûrisse dans l’amour et dans la paix.

Je vous bénis par la complaisance, par la science et par la volonté de la moisson pour semer l’évidence du juste et bon. Je vous bénis, je vous aime, c’est le moment de s’offrir pour se guérir. Amen, amen, amen.

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