La mort est mon amie où le verbe s’accomplit.

Dans cette dictée Je Suis le Maître à penser pour l’harmonie. Le majestueux de Dieu est une offrande pour tous cieux. La mort et la vie sont son infini et dans cette réalité la parabole souffle sur le cœur de Dieu. Connue sous le nom d’amour, l’offrande est l’unité d’un Tout qui transmet au verbe la moisson qui s’accomplit. Dieu ne veut pas voir la vallée de l’ombre qui est souffrance ; Dieu veut voir le chemin éclairé afin que vous puissiez le visiter. C’est dans cette ressource d’énergie que le messager comprend aujourd’hui que la force de l’univers est Marie dans la vacuité de l’unité qui, consciente, se soumet à de bonnes actions.

Quand le Père s’épanouit, le dessein de la vie sourit. C’est le monde de l’implosion qui est dans votre inspiration et c’est dans la source volontaire que Marie fait son univers. Dans cette science révélée de Dieu, je ne peux créer la renaissance que si tu consens à voyager naturellement dans l’éclosion du changement. Aimez-vous comme je vous aime et je rencontrerai l’exemple de la moisson qui s’enrichira par la lumière de Râ. Dans cet état de perspective, donne à Marie la moisson de mon sang qui revêtira la science de Râ dans le choix décisif du messager que tu portes en toi. Ne me laisse pas mourir, donne-moi la lumière de ton rayonnement pour que je puisse donner à Marie le mouvement du souffle constant entre le ciel et la terre. Dans cette relation Je Suis, dans cet amour je vis où le verbe s’accomplit, parce que la mort est mon amie. Dans cette diffusion exceptionnelle des mondes, je meurs pour que le monde de la ligne horizontale puisse se révéler à l’acte de charité, pour que le majestueux de Dieu puisse se placer comme une offrande naturelle au service de la loi.

J’accorde la divinité que vous portez à la mémoire du passé qui s’achèvera et se relèvera. Recevez mes bénédictions, car le bouleversement est là et quand la mort arrivera vous accepterez d’accéder au mouvement de répétition qui se fera naturellement.

Commentaires fermés.