L’amour de Dieu est un monde rempli de messages et de conscience.

C’est pourquoi nous allons vous parler de la mort qui régente la vie, ceci pour la première fois.

Dans l’implosion du juste, le majestueux de l’implosion exerce une permanence d’offrandes pour les épreuves et pour les joies. Dans ce cercle impétueux, la volonté est dans la puissance de l’implosion une implication mariale.

Ce qui est vivant est malade ; ce qui est solaire est interpénétrant. Dans la complaisance du souffle, une mémoire gère la mort pour la vie. L’humanité refuse la mort, mais refuse aussi la vie. La mort est dans la composition cellulaire un père généreux, une mère aimante, c’est ainsi qu’on se révèle à la vie. Si tu acceptes la vénérable moisson, tu ne peux que t’orienter vers le juste. Si n’acceptes pas cette réalité, tu ne peux exister dans ce monde. Tu vis l’illusion d’un état de vie dégénérée et tu te crois vivant. En repoussant la mort (la transformation), tu ne peux acquérir le bouleversement que j’attends. Toute la création devient une pure imagination intentionnelle que déboute la réalité. L’esprit est malade et la maladie t’emporte dans son marasme. Il faut que tu perçoives en toi l’interaction d’un Tout qui soulève la volonté et la dirige vers la paix de ton intériorité. Si tu es consentant à reconnaître que la douleur comme la peur sont inexistantes, tu pourras te révéler à la vérité de la vie. Dans ton pouvoir inné tu te placeras, ainsi éclairé, tu seras. Toutes les maladies sont créées par ton esprit qui, dérangé par le manque de sagesse, se soumet à des perceptions déviées qui engagent de mauvaises actions.

Je reviens à la mort. La mort est une perception qui consent au don du verbe dans son accomplissement et permet à la vie une promesse de belles moissons. Comprends-tu la conversion ? N’est-elle pas le bouleversement de la mort pour la vie ? Reconnais-moi en Marie et tu retrouveras le trésor volontaire de l’univers. Tu as été créé par une rencontre fusionnelle entre un homme et une femme et tu quitteras la Terre comme une offrande salutaire pour servir ton nouvel univers. La mort Est la vie, la vie Est la science de ce monde.

Nous bénissons nos frères de la Terre et nous leur accordons beaucoup d’attention. Le mouvement est un monde de science solaire. En réalité, il n’y a pas de mouvement, c’est un fait qui s’applique naturellement à tout vivant et qui, dans la convenance du Je Suis, reflète l’amour éternel. Pour te ramener à la mort, je dirais que Marie s’applique à vous le démontrer en permanence dans son don, dans son évolution, dans son amour fusionnel, pour permettre au souffle de s’engager à démontrer toute sa beauté.

Amour et paix.

Commentaires fermés.