La mémoire du « Je Suis » est solaire où le messager de la mort réalise la vie.

En somme, tous les vivants sont dans le pouvoir de cette création, jusqu’au jour où la moisson se réjouit du vivant. Dans cette conversion inextinguible du Je Suis, le Maître à penser est aimant dans le pouvoir solaire.

Une feuille portée par le vent est conduite à se déplacer par cet élément. Quand elle touche terre, elle est dans la rencontre d’un état don puissant, celui de Marie. L’homme veut se laisser diriger par l’éclosion cellulaire d’un autre univers où, comblé, il pourra dans l’avènement du juste se soumettre à d’autres dispositions. C’est cela que nous entendons par « mort », où le verbe s’accomplit. Pour sa prochaine étape de la vie, il y a une mémoire d’implosions qui se soumettent aux explosions, afin d’être porté vers une autre dimension.

Qui es-tu, toi l’insolent ? Tu veux t’éloigner de la vie comme un souffle inexistant pour apporter à ce monde, non le confort, mais l’illusion. Qui es-tu pour ne pas obéir à la loi de mon sang ? Tu ne fais que vivre le confort de l’illusion, mais jamais la force fusionnelle de la moisson. Tu as beau t’écarter de la voie, je viendrais toujours te chercher pour que tu puisses reconnaître le juste du Soi. Tu es ignorant, primaire, tu ne veux pas entendre le majestueux de Dieu en toi. Tu as pris parti pour la gloire et l’intérêt, pour le mal-être de ta santé et pour l’esprit de folie. Lorsque ton Tout aura traversé ce monde créé, tu te lasseras de la vie et tu mourras comme un voleur, seul, triste et dans la peur. Ta réserve d’énergie s’épuise et prisonnier de ta création tu deviens l’acteur de la peur. Le conscient de ta réalité n’est plus qu’illusion où le bouleversement n’est plus vivant, mais dans l’infirmité.

Tu dois entrer dans le souvenir, bannir cette création et regretter d’être un monstre dont l’esprit est soumis à la révolte, à la criminologie, à la guerre, à tout ce qui est épouvantable, où la mort déchirée ne peut plus te rappeler à la vie. Ce que tu crains arrivera ; ce que tu crées se dessinera. Le bois sera coupé et sera livré ; la mort viendra, t’emportera et dans ce bouleversement, enseveli tu seras.

J’ai vu tous les mouvements de l’évolution, sur tous les plans, mais j’ai vu aussi l’homme se déchirer, l’homme dominer pour recréer la souffrance et le mauvais côté de la vie. Ton Tout est Mon Tout et dans l’heure d’aujourd’hui je dirais que la mort est venue pour t’étrangler afin de recommencer un nouveau cycle dans le cœur de Marie.

Soyez bénis.

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