L’offrande du souffle de Dieu est le verbe, le mutant qui génère la force du Tout puissant.

Ces quelques lignes sont ici, pour tous, une grandeur aimante de mon cœur, où le messager complaisant est sans condition dans le juste et bon. Le mouvement actif de l’être aimant est toujours tourné vers l’humanité, dans l’amour et la paix. Le monde de Marie est l’empathie d’un exemple enrichit depuis des milliards d’années. C’est en effet par la science du verbe que l’on se soumet aux bonnes actions, par amour ou par compassion. La mémoire de Marie est la réalité d’une élévation concrétisée depuis la nuit des temps.

Ne me laisse pas mourir ; obéis ! Ne me laisse pas dans les ténèbres ; donne-moi la lumière pour que je m’épanouisse dans ta vie. L’ivresse est solaire. Ce monde est renaissant et recompose l’ultime du Maître en tout ce qui Est. J’ai des Maîtres puissants qui m’enseignent l’accueil, l’éveil, naturellement. Je Suis amoureux de la vie et dans cet état je me révèle à l’après-vie en communion avec le moment présent. Toutes les mémoires, dans tes bouleversements, reviennent toujours à l’état présent. Ne laisse pas Dieu dans le verbe, mais exprime sa loi naturelle dans les actes, les pensées, l’amour et son reflet.

Lorsque la mort te visite, laisse-la entrer et converse. C’est ainsi que la vie recommence dans le feu de Râ. Sois bénis et souviens-toi que Jésus Christ est ressuscité parmi les vivants. L’amour de Dieu t’élève, l’amour de Dieu est souvenir. Amen.

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