Il y a un pont entre ciel et terre.

Il y a une mémoire de vérité et non de guerre. Il y a le juste posé du sacré. Il y a le verbe visitant l’implosion. Il y a un Tout brûlant qui est le volcan, mais par-dessus tout il y a Marie-Dieu.

Sur ce pont je me suis placé pour délivrer l’humanité. J’ai le cœur serré, mais je dois me projeter dans l’implant de la maladie de tout infini. C’est la voie qui m’y a conduit où la mort est mon amie, où la semence de Marie m’assiste aujourd’hui. Je suis sur le pont reliant deux dimensions qui doivent servir l’humanité dans son désarroi complet. Je meurs pour vous sauver où l’amour est dans le sermon dicté. Le Tout que Je Suis est sur le point d’exploser. De l’instant à la Trinité, je m’accomplirai pour que le Fils de Dieu dans le souvenir puisse ressusciter, afin de semer le pouvoir du Soi dans le linéaire du parfait. Je vais mourir pour revenir dans le souffle du Moi.

Le 2 est convertissant pour le 1 maintenant, où le 3 se posera pour fortifier la Foi. C’est ainsi que le 4 est l’amour de ta totalité qui permet au 3 de revenir à la conversion du Tout puissant en rejoignant le 1, bouleversement du Soi, amour et lumière.

Nous vous aimons. Ainsi, nous sommes la conscience du cœur de la vie.

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