Le nombre d’or est dans la mort le majestueux de Dieu qui dans la complaisance se soumet à la danse évolutive du juste solaire.

Le vénérable de la volonté est maintenant ici recomposé par le biais des Maîtres ascensionnés qui reflètent le don de vacuité pour servir la loi de leurs aînés. Le vaisseau de la vallée du juste est arrivé à se placer dans la conscience de Marie pour saluer l’exemple de son Esprit. Le mélodrame des moissons est l’ignorance de la mort pour la vie. Ainsi, nous allons démontrer que le fil d’Ariane entre le soleil et le magma terrestre est une nécessité à retrouver pour que le souvenir puisse perdurer. C’est ainsi que dans les moissons du messager on doit retrouver le linéaire du parfait. L’homme singe est dans l’incapacité à savoir que la vie est un don qu’il faut respecter. Soumis à la source de l’éthique, le ventre ne s’est pas développé comme nous l’attendions, car vous avez, dans le mouvement, figé cette interaction par des pensées, par des mémoires injustifiées, par un comportement animalier. C’est dans cette science que la mort n’a plus reflété la vie, mais en vérité l’ignorance dans sa totalité. C’est pour cela que je viens à la rencontre des messagers qui eux considèrent la mort comme la rencontre de l’absolu. Jésus dans le verbe des moissons a donné de grandes leçons, mais l’humanité s’est posée dans l’intérêt et non dans l’implication du juste pour semer. C’est un monde descendant vers le manoir de l’ombre. Il est temps d’intervenir dans cette vallée et dans la complaisance retrouver le chemin éclairé afin d’édulcorer votre ciel assombri. Dans la moisson du juste je me suis posé, j’ai pris la moisson par la racine et je l’ai replantée. Qu’avez-vous fait de cette vérité ? L’avez-vous arrosé, nourrit, pour qu’elle puisse pousser ? Vous avez oublié de l’arroser et elle est morte desséchée. Qu’avez-vous fait de mon don ? Liés à cette récolte, vous avez bouleversé l’inconscient des mondes qui aujourd’hui reprend vie pour semer et servir. Quand la raison l’emporte, la mémoire s’investit et la douleur enveloppe le cœur. Et pour terminer, je dirais dans la simplicité que la moisson est le message du verbe dans son éclosion et qu’il faut penser à l’humanité pour retrouver tous les bienfaits du linéaire parfait. Quelle que soit la rencontre, vous devez impérativement me rejoindre dans la moisson originelle pour que la magnificence solaire puisse ouvrir le canal vers mon Père. Dieu veut que la circonstance dans le verbe puisse fusionner avec l’instant en communion dans un mouvement interpénétrant qui salut le juste et donne la conversion à l’ensemble d’un Tout puissant. C’est la mort qui guide tes pas, c’est le majestueux qui œuvre dans ton cœur Dieu. Aidez-nous à ouvrir la porte du ciel aux désespérés, à ceux qui ont des paroles pleines de fiel. L’avènement a été dans les larmes amères et les frustrations.

Je Suis le verbe qui accomplit.

Je jure de semer une mémoire qui renaît dans l’espace de la méconnaissance où tous reconnaîtrez l’implosion du juste et bon dans le verbe de la matière et dans la sainteté où j’ai mis un pied. Les éclosions finissent toujours par imploser, même s’il fait mauvais temps. Le majestueux de Dieu est le reflet marial du ciel et de la terre pour glorifier le cœur de la vie en tout infini, en toutes résonances dans le juste de cette danse. Aujourd’hui Je Suis vivant, j’accompagne le vent et toutes les moissons qui seront dans la volonté de Marie un état grisant dans la transformation. Il est écrit que je reviendrai sur la pointe des pieds. Je suis arrivé à la forme dans la matière pour semer, pour que Marie soit dans le verbe, la vacuité. Aujourd’hui je me montre sous la forme de Marie, parce que son cœur est épris de ma vérité, parce que son Esprit est le 2 convoité, parce que son amour est Marial et aimant. Alors, je lui ai donné mes ailes dorées pour qu’elle puisse œuvrer dans la science du moment, dans le verbe de la moisson. Aujourd’hui dans ce corps de chair, je vis. Je Suis la lumière des mondes et je me soumets totalement à cette rencontre. C’est ainsi que la mémoire de ma vibration s’est soumise à Marie pour développer le « Je Suis ». Oui, je dis amen, parce que le verbe du souffle de vérité peut maintenant s’exprimer sans être dérangé par le Maître à penser qui, lui, consent à mourir pour sa paix. La mémoire de Marie est ici vivante dans la louange, les bouleversements et dans l’accès à la vérité par l’implication des états dons, en commençant par le verbe, dans l’évidence de l’amour sans condition.

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