Mère pour tous les enfants de la Terre, Je Suis. Mon nom est Marie.

Dans le mouvement de la moisson je suis la manifestation, je reconnais vos actions par le biais du linéaire qui génère la vie.

Vous êtes tous désarmés devant la moisson et vous œuvrez pour votre extinction. Les dominants ont un ventre stérile, ce qui les conduit à être des guerriers sauvages – plus de respect pour la vie, plus de respect pour Marie, plus de valeur dans votre cœur. Tout est violent, massacres, génocides, par l’intérêt, par la domination, par la gloire, vous avez détruit la vie, votre monde est en perdition. On vous a soumis toutes les vérités de Dieu, mais vous continuez à vous enterrer dans ce mouvement de désespoir complet. Ce monde doit avoir la foi. Qu’est-ce que le foi s’il n’y a pas d’application consciente dans l’acte et le don ? Vous me priez, vous m’implorez, mais que puis-je donnez à vos intentions puisque vous restez toujours dans l’orgueil et la destruction ? Vous m’élevez au rang de « maman » et vous me martyrisez en même temps. Je ne suis pas dans la pierre, je ne suis pas dans l’idolâtrie, Je Suis ce Je Suis dans votre cœur profond, dans votre Esprit et tout votre état cellulaire. Vous ne me donnez que le martyre. Je vous donne mon amour, je me soumets à votre amour, mais je ne récolte jamais le bon fruit. Vous êtes malades, car la mort est repoussée constamment. La conscience du ventre de Mère est dans un ventre fécond et non dans la maladie. Où est le secret de la vie ? Comment pouvez-vous bafouer son Esprit ? La Foi est l’ingéniosité de Dieu en Soi, dans la connaissance et sa réalité, mais malheureusement rien n’est manifesté. Très peu d’hommes ont la véritable foi et c’est pour cela que vous vivez dans un mouvement de maladies et de guerres.

Je suis toujours présente dans la vérité et la loi de Dieu, mais vous, vous êtes absents, car il n’y a aucune manifestation dans la moisson du juste. Parfois interpellés, vous veillez à ne pas vous tromper, mais le manque de volonté anéanti l’effort donné. Vous rencontrez la mort avec la peur atroce de ne pas retrouver l’illusion de votre création, alors la vie ne peut porter la Vie.

Veillez à ce que la mort transcende votre vie pour reconnaître le cœur de Marie.
Je vous aime et je vous bénis.

Commentaires fermés.