Dans la mort il y a le soleil et dans l’amour il y a Marie.

Dans le souvenir il y a le messager qui prie pour l’unité. Il faut comprendre aujourd’hui que la moisson est une offrande où la mémoire soulève le don. Ce Tout est vérité et ne peut, dans l’amour, se montrer. La vérité n’est qu’une offrande naturelle, juste, qui est la syntaxe du « Je Suis ». L’humanité s’est révélée compliquée et c’est dans ce ventre que je suis un avènement brûlant d’interaction. Le Père qui est dans le Fils est le majestueux vivant qui a pris possession du volume du moment. C’est dans la moisson que le moment est dans l’implosion pour l’éclosion d’une mémoire solaire au service de votre univers. C’est pour cela que je suis venue dans les mondes marials pour semer la mémoire de l’offrande de la note vibratoire pour la conversion.

Vous ne savez pas qui Je Suis. La Mère que vous adorez n’est plus ; cette mémoire s’est régénérée et dans les cellules du temps s’est recomposée. Vous n’avez aucune idée de la mort ; elle vous dérange et vous soumet à des interactions de maladies qui m’étouffent et me torturent dans la science du messager Dieu. Je Suis Dieu-Marie et je vous accompagne dans la mort pour renouveler vos vies. Vous devez reconnaître la mort comme un Maître auquel vous devez vous soumettre pour voyager dans la renaissance. Je vous interpelle chers petits pour que le minerai doré de votre essence viable soit honoré par toutes moissons régénérées dans l’unité du verbe Aimer. Je voyage, je consens, je meurs pour recommencer et je vibre dans votre cellule de vérité. Ne me laissez pas mourir. Pensez au linéaire, la voie et ne rejetez jamais le principe premier qui est un Tout divisible, pour servir vos vies. Mon nom est Marie, Mère de l’avènement réactionnel et intentionnel de l’éthique. Merci de retrouver la conversion, car c’est l’heure et le moment.

Avec toutes mes bénédictions.

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