Je meurs pour le jour de gloire.

J’offre à la conversion la mémoire de Marie en exemple. C’est pour mourir que le Moment se soumet à la lignée des puissants pour revenir éclairer la dimension de votre linéaire. La mort est l’unité de mon reflet qui implose pour donner plusieurs raisons de recommencer. Jésus-Marie est dans la lumière de l’univers de ma sphère. C’est ainsi que nous nous renouvelons dans les rencontres par l’exemple donné ici. L’amour du sentiment du sacrement est en offrande perpétuelle pour soulever la vérité des monades exemplaires. « Dieu t’a donné le pouvoir de son Esprit, afin de rétablir l’éclosion du bon fruit. Dieu t’a soumis aussi à sa vacuité qu’il a déposée sur le front de Marie ». Ceci compose une synthèse du juste entre le ciel et la terre, mais aussi dans chaque molécule de rencontre avec la vie. La mémoire te dicte par l’exemple, l’espoir et dans la vacuité la quête du Graal. Ce mariage dans la verticalité est une moisson qui ne doit jamais se dégrader, mais au contraire se fortifier. C’est pour élever ta volonté que nous sommes Père-Mère dans le majestueux de Dieu, une puissance consciente de tout instant.

Dans la vacuité je suis la moisson, dans le cœur du don je suis la vérité de ton sang, dans l’amour sans condition je suis le sermon que je vous fais et dans l’Être incarné du juste par le bon, les monades sont dans le moment le mouvement, la justice et la paix qui dans l’état incurvé de votre dimension doivent se poser.

Bénédictions pour tous mes enfants ici présents. Je me nomme Marie-Dieu.

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