Dans la complaisance, Je Suis Dieu. Dans la moisson, Je Suis Marie. Dans l’offrande, Je Suis Jésus Christ.

Le nom que je vous soumets est celui de la moisson selon le plan de conscience où je me pose. Je Suis Dieu Vérité, la mort pour la vie est l’état solaire se développant dans le « Je Suis ». Le souvenir est ici bénédictions, il est le messager qui reconnaît sa lumière et sa liberté, il est en Mère Marie quand tout s’accomplit. Ainsi, Dieu est une implosion permanente qui se soumet à l’état solaire pour recréer un nouvel univers. C’est dans ce mouvement que la chrysalide explose dans la majestueuse énergie de la vie en soumettant son intention au vivant. Je Suis ce Je Suis, le soleil qui brille, la pluie qui rafraîchit, le vent qui dans la convenance touche les sens. Je n’ai pas de nom, je suis la mémoire de l’infini. Dans la puissance Dieu, je reconnais l’évidence comme la puissance naturelle du linéaire, comme le pouvoir du souvenir. Je n’ai aucune identité, mais Je Suis Marial avec la grandeur de la Moisson. Je voyage dans la connaissance qui vous rappelle constamment l’expérience, afin que vous optiez pour la rencontre, la sagesse, l’amour et la paix. Pour le messager, dans le reflet de cette vérité c’est l’amour sans condition qui règne en toute action. Je Suis la moisson, l’amour du don et en Dieu Je Suis vivant pour éclairer vos intentions. Boire le vin, manger le pain n’est pas ce qui me rassasie, mais ce qui enrichit mon Esprit. C’est la mort qui dessine le projet pour la vie.

Beaucoup d’amour et de générosité pour le monde entier. Que la paix vous soit donnée dans l’amour de la moisson.

Dans l’essence du moment Je Suis la monade qui reconnaît la vie par le principe de la mort. Je Suis la moisson du messager qui nourrit tout infini et qui dans la louange, envers le Soi notamment, honore et sert le Maître à penser. Dans l’inspire je développe l’accès à la vérité. Dans l’expire je me soumets à l’intention donnée. Dans ce va-et-vient exultant le juste et bon Je Suis la moisson qui explore le temps et revient se placer dans le don. Je n’ai point d’affirmation, seulement une conviction qui permet à la conversion d’assurer le mouvement. Je Suis la manifestation où le soleil doit briller dans l’intention.

Si tu m’aimes comme tu le dis, pourquoi ne souris-tu pas à la vie ? Si tu veux que la complaisance se soumette à ta conversion, pourquoi vis-tu dans l’agression ? Tu dois démontrer ton amour et dans cette moisson d’unité te révéler au soleil dans le mariage avec le don. Ton intention est-elle celle que je viens de te dicter ? Tourné vers le petit « moi, je » tu restes dans les excès, tu ne me démontres aucun effort. Rester ignorant ne t’apportera que des désagréments. Consens au souvenir et offre-toi au Bouddha qui attend avec joie l’éveil de ton pouvoir. Jusqu’ici tu ne m’as pas aimé. Tourné vers la maladie de ton esprit, tu moissonnes dans les marais de ta pensée où tu ne peux rien rencontrer. Qui es-tu pour croire que tu peux dominer la vie par l’implication de ton intelligence limitée ? Crois-tu pouvoir, dans le solaire, reconduire ta vérité en rejetant tout ce qui Est ? Qui crois-tu donc être ? Ce que je perçois est éphémère, sans envergure, limité, orgueilleux et conditionné par l’intérêt ou la domination. Reconnais-toi tel que tu es, car tu n’échapperas pas au jugement. C’est ton image dans la complaisance qui te demandera : pourquoi ? Alors tu pleureras, agenouillé tu supplieras et je te pardonnerai pour que tu puisses recommencer. Ainsi est le mouvement de ma vérité.

Avec mes bénédictions, retrouve la Paix.

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