Je donne le pain, je donne le vin, je me soumets dans le creux de tes reins et dans cette mémoire je suis serein. Dieu est le bouleversement du souvenir qui crée la grandeur d’un cœur qui s’épanouit pour votre devenir. Je ne suis pas la rencontre du Soi, je suis l’accès à cette vérité dans l’émoi. Je consens à la conversion qui renouvelle toutes mes actions et dans cette moisson je me réjouis constamment. Dieu n’est pas ce que tu crois, c’est la moissons juste du Soi qui permet à l’unité du cœur de la vie de se retrouver dans l’offrande de Mé qui est complaisance dans le pouvoir de son amour envers la loi.
Moi, Marie-Lumière je dis que l’oiseau voyage dans le juste et que l’homme est le souvenir qui doit s’accomplir aujourd’hui. En tant que messager de l’univers qui crée, je me pose dans l’infirmité pour guérir toutes ses plaies. Dans le vocabulaire de l’univers je rencontre l’éclosion du juste et dans la moisson je rencontre le changement, la convenance. Tout est accompli aujourd’hui et dans l’amour de Christ, le pouvoir de son Saint Nom est dans mon sang la moisson régénérée du cœur de Dieu vivant dans l’exemple du moment. C’est ainsi que l’évidence est Dieu qui engendre de nouveaux cieux. Aimez-vous en Dieu et reconnaissez-vous en toutes moissons où l’amour attractif et fusionnel doit être un linéaire parfait entre le ciel et la terre.
Merci à la mansuétude du Maître.