La moisson est l’offrande du Saint Nom. La vérité est l’innocence dans son dévouement.

Nous voyageons dans la complaisance pour servir la loi de la Nouvelle Alliance. Nous sommes vos frères aînées. Nous sommes dans le linéaire l’implosion, l’implication du retour aux sources.

En chaque mémoire la note vibratoire de l’Être a consenti à mourir pour se renouveler dans son infini, mais il y a les désordres psychologiques de vos vies qui ont déréglé un Tout complaisant pour le reconduire à la destruction. Dans cette science peu élevée, la mort ne s’est pas posée. La mort comme nous l’entendons, la mort comme nous l’aimons évidemment. C’est pourquoi la loi de Dieu n’est plus promise au retour à Dieu et dans toutes convenances la négligence s’est posée. Dieu ne t’a pas pris dans les bras pour te bercer dans l’harmonie de sa loi, il t’a mis de côté comme toi tu l’as fait et tu t’es détourné de l’univers qui crée la paix. Dans cette condition mal intentionnée, l’amour ne peut plus être exprimé et un monde sans amour est un monde qui se détruit. Demander au verbe de s’associer à son implosion, c’est aussi, dans le dessein du don, exiger de Soi l’obéissance totale. Si ton Tout est dans la maladie et dans le sentiment opposé à ma paix ton Tout verra arriver une mauvaise grâce dans l’insoutenable regard du juste envers Soi.

Dieu est une moisson qui se régénère en permanence, qui permet à la vie de recommencer dans le souvenir innocent de l’Être et c’est en Dieu que ton Tout, dans la moisson, reviendra pour sourire à Râ. Dans cette ouverture de rencontre et de reconnaissance, la mort vient transcender le droit au véritable sens de la vie en répondant présent à l’univers du moment. Le bouleversement qui a conduit Jésus Christ sur la croix d’olivier est prêt à se soumettre, à se souvenir. Le messager touché par l’Esprit de Dieu verra beaucoup d’hommes et de femmes se conduire dans le juste comme une offrande du parallélépipède, en dons pour tous les ventres qui seront féconds. Par cet intéressement à la vie, tu pourras comprendre que je ne suis pas toujours ce que tu dis, mais une moisson originelle et éternelle. Les mouvements Dieu sont ici et maintenant dans toutes rencontres qui s’élèvent doucement vers la générosité du Puissant.

Oh cœur aimant !
Oh cœur du don !
Je Suis Marie dans son action,
Je Suis Dieu dans son moment,
Je Suis Mé pour toutes conversions
Et ainsi sur tous les plans de conscience
Je Suis ce Je Suis qui dans le ventre de Mère correspond à une nouvelle sphère.

Que le linéaire soit pour moi l’écoute de mon Père.
Que je sois dans l’implosion la maîtrise et ses actions.
Que je mange le pain de son levain et que je boive le vin de la vigne de son entendement.
Je demande humblement à la mort de me soumettre à la science du juste pour me réaliser dans le juste.

La moisson est un défi continuel pour la ressemblance. Je sauve sa vie pour mourir dans son infini et revenir ici dans l’unité de sa vérité, afin d’exploser et de recommencer. La mort est la douceur de mon cœur qui se régénère dans l’espérance de tout instant. Je te guide pour offrir et en tant que voyageur je t’offre mon cœur. Le désespoir doit s’éloigner du moment pour refléter à la vérité dans la jouissance de tout instant. À méditer.

Beaucoup d’amour pour le messager que tu es. Je n’aime pas le moment quand il s’éloigne de Râ et j’entends par là, le désespoir et le désarroi. Je veux vivre la paix, donner l’amour et convertir toujours. Bénédictions chers enfants, Jésus Christ Je Suis et dans le contentement je rassemble mes brebis dans l’Amour et la paix.

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