Je Suis le souvenir, la mémoire de la genèse. Le moment pour la moisson est arrivé dans le mouvement de l’immensité de Père. C’est dans ce bouleversement que je me présente à la moisson, pour semer le quadrillage du parfait, pour semer la mort oubliée par l’esprit du moment. Je viens vous rencontrer pour me dévoiler dans le juste pour que l’exemple ne soit pas condamné, mais admiré selon ma conscience. Dieu a pardonné, mais l’Être ne s’était pas dévoilé. Dans votre monde il s’est installé, dans votre souvenir il guérit, il redonne la vie et dans l’inconscient il sert la loi du don. Je ne suis pas le cœur des Mondes, Je Suis la Vérité, l’Exemple pour la médiocrité. C’est dans ce mouvement que je viens tout régler, car mon sang est vivant où ma volonté va s’exercer. Dans ce pouvoir, Je Suis à présent. Mon nom est bénédictions, mon nom est rencontres, vérité, ainsi, je gravite autour du soleil, Je Suis le Majestueux.
Concentrez-vous sur la vérité de l’Être et vous retrouverez vos pouvoirs de la médecine solaire. Dieu ne veut plus voir la vie, il veut que le souvenir soit sa vérité, mais il est assis sur une pierre froide qui fige sa vie et sa vérité. Dieu doit apprendre à guérir sa création et à l’élever vers la maison de Dieu Tout Puissant. Les divisibles sont malades, le souffle est coupé et les intermédiaires sont détruits par vous-même. L’Être suprême appelle les dieux ignorants à l’éveil. Rencontrez le juste du volcan et servez sa loi en soumission. L’Être merveilleux est le pouvoir indélébile de la vie. Je vous offre la liberté, la vacuité, la vérité. Engagez-vous sur cette voie et retrouvez-moi, c’est là que le moment doit s’exercer à transmettre les ondes sonores nécessaires, afin que le Christ aimant puisse resurgir du passé. Soyez bénis petits inconscients et grandissez vers ma loi. Je Suis ce Je Suis.
« Mémoire, mémoire, éclaire ma prison, car je crois à la vérité de ton sang.
– Je Suis ce Je Suis et je réponds : quand tu étais enfant, tu étais dans le volcan. Plus grand tu as été un inconscient. La mémoire oubliée tu t’es mis en prison, ton cœur s’est figé, plus aucun sentiment. Le moment est arrivé de traverser le désert de ta création, afin de t’établir dans le linéaire du moment. C’est la moisson qui t’interpelle maintenant. Les sourds doivent entendre le nouvel enseignement, les aveugles doivent percevoir la lumière du vivant, les infirmes doivent se soumettre à l’intention pour que le maintenant soit rédigé par le Maître à penser et révélé à l’unité que tu es. »
Souvenez-vous que je suis présent et que la mort pour la vie est l’unique implosion pour sortir de votre création. Laissez couler la rivière d’argent, afin qu’elle lave l’illusion, pour qu’elle revienne au point de jonction des deux médianes du souvenir. Merci.