La mort est une implosion qui dans la moisson donne la vie et non le contraire.

Dans vos infinis, le genre Dieu † † † † † † † est dans le poumon de Mère une moisson cultivée qui ne permet pas d’expérimenter le juste de ma réalité. Tout s’exprime, dans la connotation de la vie, par la mort qui, elle, se soumet au juste de la moisson. C’est dans le moment que l’on se soumet à l’action pour éterniser la moisson. C’est dans l’Esprit des mondes que l’on consent à imploser pour que la chrysalide se montre en papillon. Aimer le monde de l’inconscient c’est renouveler les forces de l’instant et les conduire à la louange de la Sainte Offrande. N’oubliez pas que Je Suis ce Je Suis. Depuis la trame des univers, la vérité traverse le moment comme un éclair, afin de donner à la mort une belle énergie pour l’incarné qui doit se réjouir dans le majestueux de Dieu. Aujourd’hui, Je Suis le soleil qui brille, aujourd’hui, je consens à la médecine solaire qui me régénère. Je rencontre l’Esprit qui dans l’énergie de la moisson est aimant, bouleversant, complaisant. Tous les ventres des moissons vont se construire différemment pour désigner l’incarné qui se montrera dans la juste pensée. Ainsi, le Messie servira la loi dans le cœur de Mé sans jamais se lasser.

Avec les bénédictions du juste et bon, je vais rassembler les brebis égarées pour que le majestueux cœur de Dieu puisse vibrer sur le chemin de la félicité implanté dans le cœur de l’humanité. Dieu veut et je consens. Dieu m’offre et je me soumets. Dieu est réalité sur terre comme au ciel.

Beaucoup d’amour dans le passage à l’acte, beaucoup d’amour pour le Soi lumineux de Dieu.

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