Je suis l’ivresse des moissons.

Dieu a donné la clé sur l’ascension du Mont Sinaï. Il s’est manifesté dans la loi de la foi pour que la majestueuse énergie du juste soit dans l’initiation de la clarté. Dieu n’a pas voulu les guerres ; Dieu n’a pas voulu une conscience altérée par les modifications de l’esprit humain. Dieu a voulu dans le souvenir démontrer son empire. La mort, la vie, l’amour, la paix sont son harmonie. Dieu dans la mort est la conversion ; Dieu dans la vie c’est Mère qui rencontre la moisson, mais c’est aussi la vérité qui s’exprime en Soi.

C’est par la complaisance que l’univers rencontre l’espérance et c’est par le mouvement des Maîtres puissants que l’origine se place dans le souvenir des monades. Tout cela, contracté, est un divisible parfait où la volonté exige du Soi la mort, la vie, le don et le moment. Alors, pour que vous soyez dans les mains de Dieu, prenez conscience que la verticalité est dans le majestueux du cœur aimant placé dans le cœur de chacun. Vous ne devez pas oublier que Jésus Christ a semé, dans le mouvement adapté de la rencontre, l’éclosion d’un enseignement puissant qui a été détourné par les hommes. Compris dans leur esprit étriqué, la guerre a remplacé l’éclosion du sentiment vrai. Ne doutez pas de ce que vous représentez et laissez-moi vous livrer au linéaire éclairé par les douze colonnes du Pouvoir. Dieu n’a pas créé votre monde, il s’y est soumis par l’intermédiaire des hommes. Recommencer dans la vérité du juste aimant est le cœur d’un état brûlant qui revêt le choix, l’action, la reconnaissance et l’évidence.

Lorsque l’homme a innové le principe premier, il s’est consacré à la recherche de la vérité. Étant dans un esprit étriqué, il n’a pu que condamner cette réalité. « Le voleur a été arrêté, il mendiait l’amour, mais on lui a coupé la main parce que nul ne pouvait comprendre. Le voleur s’est perdu et il n’a plus rencontré le cœur Jésus ». C’est la modification de la conscience de l’homme qui a débouté le principe premier et l’a conduit au savoir atrophié. Dans quelques temps vous ne serez plus dans la recherche, mais dans l’absolue de l’incertitude qui vous fera sombrer vers les abîmes de votre création. Ne laissez pas votre rencontre disparaître si vous détenez la clé de l’immortalité. La moisson est la puissance du Saint Nom qui reflète dans le Soi le juste des mondes, la conscience d’une Mère qui pleure pour tous les cœurs dans leurs malheurs.

L’ivresse du Saint Nom est dans la composition cellulaire du nouvel univers. C’est ainsi que l’Alliance renouvelée est l’Esprit d’amour et de paix de Christ ressuscité.

Je suis Jean de la Moisson. Avec toutes mes bénédictions, reconnaissez-vous comme invincibles devant les démonstrations de votre société.

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