Le Soi-Lumière.

Je me suis présenté, aujourd’hui je veux m’exprimer.

Dans la composition cellulaire, Dieu est réalité. La mort, la vie, sont l’unique don qui permet à la moisson de se régénérer. Le cœur du souvenir est différent pour les moissons des cycles de l’implosion selon la puissance impliquée dans l’instant. La diversité est dans le mouvement de cet état et est conduit vers d’autres mouvements qui répètent inlassablement l’éclosion et la projection. En vérité, les mondes de la mort sont immortels et démontrent que l’empathie est dans la moisson du Maître à penser et se révèlent quand c’est le moment. Dans les mouvements, l’unité se rapporte toujours à la mort, à la vie, à la puissance, à la fusion et à l’offrande de tout instant. C’est la mort juste qui rencontre l’exemple aimant et qui s’y soumet par l’implosion et recommence la même action. C’est la moisson de la divinité aimante qui, dans le souvenir, reconstruit un devenir dans une meilleure qualité de vie. Ce n’est qu’une fusion de moissons qui rencontrent la vérité.

Pour terminer je dirais que le mouvement associé au « Je l’aime » est dans l’empirique d’une conscience initiatique émergeant de Mère pour léviter dans l’inconscient du moment. L’éthéré de l’Être incarné est une source volontaire pour l’évolution. Le Maître à penser est la puissance des mondes, implosant dans chaque convenance pour lui permettre, dans le mouvement, d’être présent. Il est donc important que la mort soit reconnue dans la pluralité comme un bienfait. Je n’hésiterais pas à dire que le Soi-Lumière est la circonstance de la moisson d’implosion, pour que le Soi puissant aimant de la genèse soit Dieu du divisible parfait, convergeant vers tous les vivants.

Mon nom est offrande, amour et conversion. Avec mes bénédictions, je vous le dis, Je Suis le Moment.

Commentaires fermés.