Dans la mort comme dans la vie, Christ explore tout infini.

Dans l’amour des mondes, le mouvement est un divisible puissant, c’est pourquoi j’entends bien affirmer un état adapté à la moisson pour la relever. C’est dans cet Esprit que je viens m’offrir à la vie, pour ressusciter en tout ce qui Est et faire vaciller l’unité pour la replacer dans le juste vertical. C’est mon sang qui va, dans la conversion, rencontrer mon Père pour porter un enseignement plus élevé, plus mature en vérité. Alors, pour que tous soyez dans le cœur du Soi un vivant assuré, je dis : bénédictions pour le Saint Nom, pour son offrande amoureuse, pour tous ses états aimants du moment. En tout ce qui Est je soumets la mort pour la vie et pour éterniser le « Je Suis, Marie », ainsi, le déroulement de ma vie est un cœur aimant dans le sacrifice de l’instant. Si le Tout puissant, amoureux, entre dans la condition de ce monde, alors, la lumière de Râ exigera du Soi un cœur de vérité qui s’exprimera pour servir la loi de l’unité.

Qu’on se souvienne de mes paroles, dans les monades de l’implosion, au moment puissant que Je Suis. Et je termine en offrant à l’humanité un monde plus affirmé, poser dans le cœur de la Trinité et en messager je dis : je glisse sur le juste de la paix, je glisse dans la mort en tant que ventre apaisé. Merci de perdurer dans la moisson du Saint Nom, merci pour la rencontre du moment, merci pour le juste des mondes.

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