Dans le bouleversement, Je Suis vivant pour que l’offrande du Saint Nom soit honorée dans la mort pour la vie.

Je me penche sur tes pieds et je vois qu’ils sont souillés. Le souvenir s’en est allé et la moisson est affligée. Dans les univers, l’implosion pour les inconscients n’est pas toujours dotée de souffrance. La souffrance est ta démence et le cœur de la vie est méfiance. Tu ne doutes pas de ce qui est bien pour toi, mais tu doutes parce que tu perds la foi. Tu rencontres l’amour, le frisson, puis tu t’en vas à grands pas. Tu offres ton inconscient, mais la mort n’est pas dedans. Tu refuses toutes actions qui, dans le soleil, ne recomposent plus l’éveil. Et tout cela dans l’essence de la maladie où l’Esprit torturé ne dit plus oui. Voilà ton implosion, elle manque de connaissances et, dans l’essence de vie, n’est plus gérée par le Maître à penser.

Dans certaines dispositions, nous remarquons que le messager ne sollicite plus la vérité, mais reste aveuglé par la création d’un mouvement en excès. Dans cette circonstance, nous essayons de vous élever en vous faisant prendre conscience que le Soi-Dieu doit être l’absolue vérité qui vous guide vers le chemin éclairé. Ce monde est le don aimant des moissons enrichies de la mort pour la vie. « Dieu est un créateur qui s’ignore », mais lorsque l’heure est arrivée où l’exemple doit, dans le Savoir, entrer, c’est le désespoir dans ta totalité. Dieu n’est pas conscient de la communion du moment. Dieu-homme est malade, l’ivresse de son Sacré a été balayé par les excès. Méditez cela et réagissez, nous sommes lumière de Dieu. Nous vous sommes reconnaissants de nous lire intelligemment.

Bénédictions.

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