Le monde du pouvoir est la parabole dans le Savoir.

Dans la vallée de l’amour, Mère a rencontré Père. Dans cette rencontre, cette nouvelle énergie équidistante du souvenir s’est posée. Dans la mémoire de l’implosion, la mort a consenti à servir la loi de la vie. C’est dans cette disposition que le mouvement intentionnel s’est révélé à l’ultime éternel. Dans le mouvement associé à la parabole de l’Être aimé, le ventre de Mère dans la rencontre a déterminé l’ingéniosité du pouvoir, par l’exemple exutoire des mondes exigus du juste de l’Être. C’est en effet dans la mémoire de Dieu que Mère a semé sur toute la terre l’évidence du moment. Marie a généreusement recréé par la mort, la vie dans son éternité. La majestueuse énergie, qui parfois dérive selon vos envies, peut à tous moments reconnaître son nid douillet parmi les épines de la rose nacrée. Je Suis lumière pour la Terre, ainsi, je me soumets à la moisson où j’aime le bon fruit dans sa maturité. Toutes mes décisions sont, dans le pouvoir, ma réalité, qui s’accomplit pour offrir le don mémoire à la conscience du moment et renouveler ainsi dans l’iris solaire le même reflet.

Dieu aime Dieu. Dieu consent à Dieu. Dieu est la vérité d’un monde d’implosions, qui s’étire en permanence pour honorer la mort et la conduire à la vie. La mort est la moisson de l’origine qui intègre l’Être naturellement et lui soumet le développement du don : la conversion.

Alors que tout est relié, le cœur de la moisson doit jouir du moment dans le bonheur. Être, c’est aussi se soumettre au souvenir et garder l’espérance, pour que le souffle des mondes puisse se réaliser dans la conscience de votre réalité. Nous venons pour vous aimer et arracher le venin de votre illusion.

Nous sommes la lumière de Dieu.

Commentaires fermés.