C’est la mémoire de l’infini dans le poumon de Mère qui enfante la régularité du juste au service de la loi du don. Les mains trouées, les pieds blessés, je suis toujours présent dans le mouvement adapté à tout ce qui Est et je suis aussi pour le poumon de Mère l’indice premier qui te rappelle à la générosité. Je vous le dis, je vous le dis, mon sang est celui de Marie, je voyage dans votre monde et je lui soumets mes dictées, car c’est elle qui m’a sauvé. C’est dans la moisson que l’offrande est le don, pour que le Soi puissant dans sa générosité crée sa nouvelle identité. Dans les mouvements du juste et dans l’implosion, la rencontre se fait naturellement. C’est le pouvoir volontaire qui émet sa vibration et qui recouvre votre univers d’une essence vivante, équilibrée par les monades inspirées. Donc, il n’y a pas de séparation, mais une conscience aimante. Dans cette simplicité la conversion se fait naturellement dans le volume que vous portez. Ainsi, la raison doit plier dans l’immensité de ton unité innocemment et naturellement.
Toutes les monades sont dans l’action et l’inspire est son offrande pour que l’exemple soit reconnu par le poumon de Mère comme une rencontre éternelle de développement spirituel d’une convenance associée au réel de l’Esprit. L’Esprit exultant la mort comme le mouvement adapté pour la résurrection, tout simplement. Avec la moisson je conjugue le verbe « aimer » à tout instant et avec l’intention je consens à l’univers de la raison pour que le souffle soit régulier dans l’Esprit de paix.
Bénédictions pour toutes convenances et pour toutes moissons. Je vous le dis, lumière Je Suis.