La mort est scientifique.

Elle est pour le Soi Dieu une connaissance de l’absolu qui permet à chacun de me rencontrer. Dans le cœur de cette réalité, mon sang a été versé. Dans la convenance de l’inconscient, le juste a été posé, mais en chaque réalité l’implication doit s’effectuer. Si Dieu dans son Savoir est un Père qui savoure l’instant par l’éclosion du moment, c’est aussi une renaissance qui s’impose à la loi du poumon de Mère. Dans cette attitude régulière, la mort est une science pour toute immensité, vivant dans le visible et l’invisible. L’éclosion d’un pouvoir est une mémoire de l’indivision du souvenir, c’est aussi la récompense d’un état fusionnel, intentionnel et réactionnel. Je vous le dis, le devoir accomplit, la moisson des mondes doit se reconstruire dans la quiétude et la paix du moment présent.

Le Soi unique est la moisson d’origine exerçant sa loi suprême en pouvoir et en exemple, pour que le souvenir exprime le Souvenir de la loi, dans le ventre d’un état reconstruit par le pouvoir de l’Être. Pour déterminer le plan divin de chaque individu ouvert à la grisante énergie de la vie, je dirais tout simplement, que la science de l’adversité se soumet à une moisson originelle en convertissant la pensée électromagnétique de l’Être et en la conduisant à l’inconscient du Tout puissant. Ainsi manifestée, la loi de l’Être incarné est une réception d’ondes, qualifiant une offrande divisible et cohérente dans le juste de ma vérité.

Deux bouleversements, dont l’un crée la moisson et l’autre le don. Deux Mères dont l’une et en lumière et l’autre sur terre. Ainsi, Marie, exemple de toutes vies, est une mémoire qui se soumet au devoir. Je voyage, je soumets, je contemple et j’observe le mouvement adéquat à la vie. Voilà la majestueuse émergence de l’Être qui s’accomplit.

Je consens au cœur de la vie pour honorer la Vie. Bénédictions. Souviens t’en.

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