Le nom de Dieu est le poumon exemplaire de l’univers.

C’est en fait au travers de Dieu que le mouvement du souffle est généré par l’Esprit de l’unité. Cette rencontre avec le pouvoir vous dicte votre devoir, mais vous avez fermé la porte aux mondes du changement. Vos prières sont dans l’incompréhension de la mort et votre état Dieu, englué par la pensée, ne peut plus respirer. Il est évident que la moisson majestueuse convertissante doit s’appliquer à rayonner dans le circuit solaire, pour que le souvenir soit honoré par la grâce infinie des Mondes.

J’entre par la porte et j’ouvre le verrou de l’incompréhension. Tout ce qui est vivant a une résonance avec mon sang. Cette vibration confesse sa réalité au travers des Mondes et des mémoires, expérience faite selon la grâce du moment. C’est dans cet état de bouleversement que Mère s’expanse et s’offre pour explorer la communion des Mondes et l’inviter à recommencer selon le moment, selon l’intention, selon la moisson. Cette originelle rencontre est, dans le ventre de Mère, l’intrinsèque de ma vérité. C’est pourquoi je dis que la moisson porte mon sang et se lie à tout ce qui est vivant dans le corps de chair, ce qui engendre naturellement des questions.

Effectivement, la moisson est l’état du moment pour le vivant dans toute sa gloire et ses tiraillements. En fait, toute l’énergie de la vie vibre en toi, dans les animaux, dans les insectes, mais aussi dans la nature. Tout se relie par mon sang et dans cette expérience je puis affirmer que la méditation peut te le prouver, si tu es présent à cette réalité. Dans le mouvement adapté au dessein que j’ai projeté, l’homme porte tous ces mondes avec lesquels il doit affronter la connaissance du Soi. Dans la mort je me suis couché, dans la vie je me suis révélé et dans la science je consens à me reconnaître comme l’attribut du changement de la mort pour la vie.

Les femmes et les hommes prient, ils prient avec beaucoup d’ardeurs, mais avec très peu de convictions. La prière est-elle nécessaire pour savoir d’où l’on vient, qui l’on est, où l’on va ? Une prière est une intention du cœur, qui se fait naturellement par le biais de l’atome du Soi. Si tu convoles vers la moisson, tu rencontres la lumière de Râ qui humblement te soumet au recommencement. Ton sang doit vibrer, il doit accueillir le Soi en visitant l’attenant du souvenir, afin de recommencer dans le mouvement vibratoire où les implants de ma vérité ont été posés. Ton amour ne s’est jamais livré et la vibration est décomposée. Tu as commis une grave erreur en voulant t’opposer au règne de ma vérité. Tu ne peux prétendre être Roi, car ton divisible s’est soumis à l’imperfection où tu étouffes ta divinité. Qui suis-je pour te parler ainsi ? Je Suis Dieu en vérité, celui qui t’a créé par le biais des bouleversements en toutes manifestations.

Mon premier enseignement serait celui-ci : reconnais ton divisible comme le pouvoir du moment dans la maîtrise vibratoire qui te conduira à reconnaître l’exemple du Maître. Apprends à respecter toutes manifestations de la vie. Apprends à te livrer pour honorer ma vérité, mais aussi pour l’amener à se répéter. L’imagination doit cesser et voir le Tout relié à mon sang qui, lui, ne cesse de créer. Ainsi, je danse dans l’harmonie du Sacré, Je Suis la parabole qui reconnaît la vie sur le chemin de la liberté. Dans le feu de l’enfer, la mort est reliée à la conscience que tu as désertée. Alors, tu vas trouver beaucoup plus d’intentions dans l’état marial des Mondes et la voie, le chemin, vers Dieu dans ton intériorité où tu trouveras la juste pensée et l’implication du juste inné.

Je bénis l’instant dans toutes ses capacités et je reviens au soleil central pour voyager dans la lumière de la vie. Soyez bénis.

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