Dans la lumière de la moisson, je suis le pardon.

Je Suis le Père de l’implosion, Je Suis le poumon de Mère, amoureux de la puissance des Mondes. Dans la présence de l’Ultime, l’amour est un état solennel qu’il faut diriger vers les voyageurs rebelles. Le moment juste est une action de grâce infinie où la justice doit se poser pour se livrer au monde cellulaire de tout univers. Dans cet exemple marqué, le jugement ne doit plus exister, mais le pardon se poser.

Pour pardonner, il faut mettre de côté la moisson des pensées, des tourments et des expériences passées. Toutes les moissons doivent retourner au point de la vibration la plus basse pour vibrer et tout effacer. Dans le cœur de l’humanité, le monde de l’implosion est soumis aux difficultés parce que le pardon n’a pas été appliqué. D’ailleurs, je dirais que le pardon n’existe plus. Pour savoir s’associer à l’univers de ma paix il ne faut aucun travers de la pensée, mais une juste réalité sans condition. Alors, vous servirez comme je l’ai toujours fait dans la responsabilité et la reconnaissance envers toutes vies. « Tout ce qui est grand est petit ; tout ce qui est petit est grand ». Toutes illusions manifestées dans l’instant et dans le cœur de vos actions vous conduisent à des modifications cellulaires qui dévient la vérité de l’Être et le soumet à des distorsions dans le moment. Ce qui détermine la majestueuse énergie de la vie, c’est la mort qui sourit. Alors, dans cet engagement solennel il faut reconnaître la belle aventure de nous-mêmes, parmi l’expansion du « Je m’aime ».

Je vous rencontre aujourd’hui dans le monde de Marie pour vous saluer dans vos univers et votre vérité. Soyez bénis.

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