Lorsque les vagues martèlent, le ventre de Mère est en communion avec le Tout puissant.

Lorsque les mondes sont inconscients, le fruit de la vie agit spontanément, les mémoires se rassemblent en chantant et la connaissance se souci du moment. Je Suis Père-Mère du Vivant, Je Suis lumière de la conversion. J’ai cherché au travers de ce mauvais temps le grain de riz pour le Soi lumière, où j’ai retrouvé mon amie la Moisson.

Dans cette conscience d’adoption je me suis penché pour récolter le bon riz qui lui s’était placé dans la vie, mais qu’ai-je trouvé ? Une porte fermée.
J’ai frappé, encore frappé, mais aucun cri ne sortait de cette prison. J’ai donc contourné cet instant et entendu de grands gémissements. Mon petit grain de riz se lamentait et m’interpellait pour que je puisse venir le délivrer. J’ai brisé cette porte fermée et recueilli le grain de riz. Je l’ai enveloppé en tant que Mère-Père et emporté vers sa nouvelle destinée.

L’unité du Soi doit toujours porter le regard vers le désespéré, vers les cœurs déboutés d’amour et de paix, c’est pourquoi je vous soumets à la moisson du bien-aimé pour que Mère en Père puisse se retrouver face au Sacré où il ne cesse de créer et de dominer les mauvaises pensées pour servir la loi de l’amour.

Dans les moments les plus cruels de la vie, l’amour est le baume qui guérit. Dans ton amour Je suis, dans la mort je vis et dans l’instant je meurs pour te sauver de ta création. Souviens-toi que je suis toujours là, quelle que soit la difficulté que tu traverseras, je viendrais toujours chercher le petit grain de riz pour l’aimer.

Avec la science de la moisson, la convenance du sentiment est la volonté de se sauver. Bénédictions du saint Sacré et bénédictions sur le soleil de toutes vérités.

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