La science est une élévation spirituelle.

C’est un cœur au pouvoir géant qui permet à chaque Être de s’élever, de voyager et de servir l’ange de la Moisson. C’est une écriture vivante qui permettra à la convenance de s’établir dans la vénération de l’acte du don. Nous sommes le mouvement Dieu en vérité, car nous portons l’enveloppe de l’état don. Pour tout vous dire, nous sommes en période de mutation. L’exigence de la rencontre va nous permettre d’être une réalité d’implosions exemplaires pour retrouver dans l’espace Mère, l’inconscient Mère.

Nous devons appliquer la loi de l’évolution, pour honorer le souvenir qui nous permettra l’ivresse de la force unique et majestueuse du mouvement novateur de la vie. Une interaction de communion recomposant l’artère de la gravité nous conduira au mouvement immortel du don. Quand arrivera le moment où le changement explosera, la mort nous élèvera. Alors, nous serons un monde présent, conscient et objectif envers toutes vies venant du ciel ou de la Terre. Les mémoires serviront la confession d’une réalité soumise à l’amour solaire. Quand un Être humain se pose dans cette dimension, une ouverture spatiale explose pour permettre à cet Être du ventre de Mère de rencontrer l’Esprit de la lumière. Ce pouvoir est la pièce manquante pour que Dieu soit en conscience et en Présence pour le divisible du souvenir. Jésus Christ est le miel du pouvoir, c’est une rencontre du moment présent qu’il faut servir en volonté pour aimer un cœur vivant ou desséché. Les hommes ont établi un concept de pensées qui, encore aujourd’hui, est limité. C’est pourquoi je viens m’exprimer, pour que le pouvoir Dieu soit révélé à l’attenant du moment. Nous sommes les mondes de la conscience éthérée de l’Être vivant parmi les vivants.

Les mondes vont se déchaîner, les mers se soulever et les consciences brisées, épuisées, recommenceront pour terminer l’œuvre commencée. La science révélée à l’humanité n’a pas été celle que je croyais. Souvent déstabilisante, elle a engendré les monstres du passé. C’est ainsi que ma vérité a été déchiquetée. L’homme est un poison pour le Saint Nom et je dois dire que dans les cœurs désespérés je retrouve souvent le monstre qui crée dans le ventre de Mère, la monstruosité. Tu es malade et tourmenté, tu ne crées que pour l’intérêt, tu batifoles dans les excès, le respect s’en est allé et la divinité a implosé du mauvais côté. Toutes ces démarches incluant l’Esprit de cette vérité a conduit l’humanité au rejet de la mort du Soi. C’est en effet la mort qui a été figée et qui a retourné le processus de la pensée, car nul n’a accepté sa présence pour renouveler le changement. La mort, c’est Mère dans la convenance de tout univers. Il faut prétendre à la vie en laissant la Vie éclore dans son infini. Ne laisse pas ce mouvement éloigné de ton sang, accepte d’être la vie où la convenance s’exécute pour que la moisson soit enrichissante.

Reconnaître cette vérité en Soi, c’est accepter la mort comme la composition unicellulaire du moment comme un retournement percutant, qui permet à la vie de se renouveler. Tu as dans tes cellules, Père, Mère-Dieu, en présence des monades qui, elles, se soumettent au pouvoir innocent de l’Être. C’est ainsi que le Soi vivant se relie à la Source de Mère pour honorer sa vérité et la servir en volonté. C’est unique et cela est la moisson que j’attends et cela est ma vérité.

Soyez bénis dans cette connaissance et agissez selon la Moisson pour honorer la Vie.

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