Depuis des millénaires nous composons, nous rencontrons, nous renaissons.

La mort est en effet un boomerang et dans l’implication du juste, soumet la vie en permanence, afin de renouveler l’espérance. Alors que nous sommes ici le souvenir, nous rappelons sans cesse notre existence. Selon la loi de la gravitation, nous nous engageons envers le soleil tout puissant à vivre les transformations qui permettent au Savoir du ventre de Mère de démontrer son univers. Sur tous les plans de consciences nous sommes dans la lumière les cellules vivantes de votre univers. Nous pouvons dire que le divisible est sans nul doute le Parfait des Mondes. Alors que l’intelligence vous appartient, votre luminescence est à nous. Nous voyageons au centre de la terre comme dans les plus hautes sphères en passant par l’inéluctable transformation qui nous permet d’être, dans l’inconscient, des Maîtres. En tout ce qui Est, nous formons une fraternité, un ensemble, une circonstance, où le pouvoir compose le Savoir. Dans cet édifice même, nous voyageons pour démontrer un mouvement aimant, participant au sacrifice de tous les instants pour honorer la vie. C’est ainsi que dans votre volume nous sommes le divisible parfait qui, par ondes électriques, consent à vous permettre d’être dans le mouvement, d’inspirer et, dans cette convenance, de vivre l’unité.

L’humanité n’a pas compris le Soi vivant dans l’ultime de l’être, c’est pour cela que nous agissons pour renouveler l’éclosion de la pensée don, afin d’affirmer l’existence du Savoir illimité en le réintégrant à la source volontaire de votre univers. Dans ces dispositions précisément, il faut que le Tout d’un ensemble soit soudé et non séparé. C’est pourquoi nous agissons en puissance dans le premier commandement « Aimez vous comme je vous aime », c’est ainsi que l’on reconnaît le pouvoir de ses aînés. En accédant à ce mouvement de paix, on se soumet à une moisson plus ordonnée, ainsi, retrouver le chemin c’est se soumettre au UN pour que l’ivresse de la moisson soit reconnue par le sacrifice pour recommencer. Accepter de vivre et de mourir c’est maintenir l’équilibre du UN, afin de servir sa loi en conscience et en communion.

Bénédictions, nous sommes la convenance de l’Être.

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