Dans l’amour sans condition, l’éternelle Présence agit en permanence, mais tes yeux sont fermés, tes oreilles bouchées et tu ne peux entendre le vent, ni son expression.
Nous régnons dans la lumière, nous voyageons dans le reflet de son intention et nous œuvrons pour que le mutant, se révélant à lui-même, permette la louange, afin que le soleil brille dans l’unité de ma vérité. Dans ce changement, Jésus Christ est vivant et porte son intention vers la lumière de l’amour de Mère. Toute la peine que te procure ces instants de compression sont pour le Soi une mémoire à livrer à l’espoir. En effet, Dieu a créé dans le Soi Divin une action de grâce permanente pour que le souvenir Soit.
Dans la mémoire s’inscrit aussi des consciences du monde de l’informe qui se déplient et se replacent, mais invitées à tout recréer. Quel que soit la condition du Maître, il faut l’amener à se révéler au pouvoir de ses aînés, afin d’être une essence divisible de la connaissance, du basculement qui intervient dans le soleil jusqu’à l’instant présent de la moisson. Dans la mort comme dans la vie, l’éveil est suggéré pour ne pas ternir la loi du don.
Quand les hommes crient, ils se soumettent à la guerre, ils se soumettent à des variations de mauvaises impressions, ils sont source d’interactions avec la loi obscure du moment. C’est un ventre malade qui émet la mauvaise vibration et qui condamne l’inconscient où le don présent de la culture biologique est soumis à des contractions dans lesquelles tout ce qui est vivant peut sombrer dans le moment. Les hommes ont peur. Certains hommes sous leur barbe cachent leur honte. C’est pourquoi nous entendons par « moisson » l’Esprit de l’imposante énergie qui se soumet au portement de croix sans négliger le fruit de la vérité : Amour et Paix.
L’éternité, Je Suis, pour que le monde lumière retrouve sa place dans l’unité. Je me dois de converser avec la mort pour que l’inconscient projette d’autres actions, alors, soyez bénis et surtout servez la loi comme je vous l’ai dit.