Un jour je suis arrivé, un jour j’ai composé

Un jour je suis arrivé, un jour j’ai composé, j’ai nagé pour commencer. La majestueuse énergie de la vie m’a conduit à ramper, puis à me relever, puis à soulever la panacée des conversions afin d’assurer en Maître le juste pouvoir de l’évolution créatrice de tous les instants. J’ai servi la loi des changements et, dans le pouvoir du soleil, j’ai volé pour que le souvenir ne soit plus oublié.

Sur la terre, les mondes ont évolué, créant constamment l’implosion du « Je Suis mort pour la vie ».
Dans le monde humain, l’exemple a failli et mon souffle a été coupé par un manque de volonté, un discernement naïf avec très peu d’actions. L’orgueil vous a emporté et l’Esprit limité vous êtes restés.

Dans l’amour, mon sang s’est renouvelé, mon Esprit s’est révélé à la fusion refleurie de Mère Marie. Dans l’implosion, la mort est une qualité pour la vie, mais aussi un Savoir pour tout infini. Dans la mort, le Monde lumière transforme, transcende et transmute pour que le pouvoir se manifeste dans l’évolution en dons. L’empathie des mondes est une réalité, qui s’expose à des rencontres qui dérogent à la loi de l’unité. Pourquoi faut-il tant de souffrances pour honorer la vie ? Pourquoi ne voulez-vous pas faire l’effort de la reconnaître en soi ? Pourquoi dessiner un Dieu que vous ne connaissez pas ? Dans votre limitation vous lui accordez beaucoup d’honneur, de soumissions, d’amour. Où est ce Dieu dont vous me parlez ? Où est ce Dieu qui dirige votre humanité ? Vous, les hommes, êtes rassurés d’imaginer qu’un seul être peut tout décider. Où est ce Dieu qui ne veut pas entendre la parole du juste ? Cherchez dans la mort, la  mémoire de la vie et vous me rencontrerez tel Je Suis.

Il y a sur la branche d’olivier, un Esprit pour la paix. Il y a sur la branche d’olivier, un monde qu’on ne peut oublier, un monde parallèle à la lumière de l’Être qui conduit le ventre de Mère à espérer dans son bouleversement primaire. Le soleil brille, la lune luit, les étoiles scintillent, mais l’impalpable des moissons est dans la mélancolie. Dans mon monde, l’exemple est parlant, les monades le démontrent constamment, mais dans l’Esprit du cercle des initiés puissants, la rencontre est le juste pouvoir pour le maintenant. Méditez cela.

Pour que la forme des mondes soit une source de Savoir, il faut se permettre de voyager en soi pour que le souffle, dans ton choix, soit le divisible parfait de la science des offrandes de la loi. Aussi, quand arrive le changement, l’espérance doit, dans le don, réagir selon la conscience afin de ne jamais quitter la mémoire des éclosions.

Dans le Tout, je suis vivant. Dans la mort, je suis un ventre fécond et dans la vie, l’Esprit du Maître.

Le cœur de l’humanité est le soleil des mondes de Merkaba ici et là dans le juste du choix. Soyez bénis, soyez un soleil qui brille, ainsi je vous le dis, mon nom est le cœur de la vie.

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