Dans le présent, les monades sont au service du « Je Suis vivant pour tout ce qui Est, sur terre comme au ciel, en conversion avec le sacrement du juste pouvoir ».

Dans cette discipline, la mort est l’état d’étranglement qui permet à la vie de se renouveler et dans cette composition, le souvenir se met en action. Il agit sur tous les plans de conscience, sur tous les ventres et offre l’unité à l’univers désorienté. Ainsi, pendant de longues années l’exemple de l’évolution a permis à l’offrande d’être dans l’implosion la Mère unique pour tous les univers.

Lorsque le pouvoir du Soi est dans l’amour, le juste naturel de la vie se pose pour que Mère dans le moment puisse s’accorder avec la lumière de ce nouvel univers. Les mondes impliqués dans l’évolution sont la rencontre d’un Savoir complaisant qui, dans le soleil, s’unit à la mort de l’inconscient et sert la loi de la vie. C’est une question d’intelligence logique du souvenir. Lorsque l’homme verra le pouvoir comme un état naturel de la mort, il saura qu’il est intelligent. Le soleil est la porte du ciel qui, dans la mort, se réjouit par la vie dans l’implosion de la conversion. Voilà pourquoi je dis que le divisible est la Présence de Dieu vivant parmi les vivants, un Dieu révélé au « Soi-don ».

Gloire à la lumière du juste, soyez bénis, Je Suis ce Je Suis.

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