Dans la mort imposée par le Sans-Nom, Je Suis.

La maladie, l’infériorité et le sort de la dérive sont puissants dans votre monde où le souvenir est effacé pour le devenir. Le moment fort et justifié de l’incarné est l’insondable rencontre des moissons dégénérées. Alors que l’être est vivant dans le pouvoir du Soi, le ventre convertissant est toujours présent pour féconder l’archétype de la Moisson. C’est dans cet état que Mère se penche pour convertir dans l’éclosion le monde de la séparation, afin que la rencontre soit l’unité du don. Nous ne pouvons offrir au pouvoir le don de ce reflet puisque l’humanité l’a repoussé, mais nous pouvons convertir par le souvenir. La mémoire est une action de grâce infinie qui soumet l’unité à la rencontre du berceau spatial de la mort pour la vie. Ces mémoires sont l’origine d’une explosion de grande intensité vibratoire qui a permis au monde lumière la rencontre des ventres, c’est là que l’origine recommence, c’est là que la moisson aimante du Soi explore l’initié par la mort exemplaire et aussi par l’implosion exultant le moment. Dans cette clarté initiatique, l’amour est un dessein projeté pour conditionner l’être incarné à s’unir au Tout afin que la moisson soit régénérante et abondante. Dans ce moment, l’incarné vivant dans l’espoir est l’avènement représenté dans toute sa gloire. Dans la matrice de l’implosion spontanée des rencontres subjectives du pouvoir-penser, le passage unique pour le Soi est la liberté. La conversion est l’éclosion manifestée du moment présent et puissant d’une révolution dont l’intensité est celle de la projection. Dans tous les mouvements intempestifs de Sirius, la moisson est dessinée par des vases concentriques, convergeant vers le point d’attraction qui, dans la convenance, est l’acte du don. Dans tous les mouvements péristaltiques du Sans-Nom, l’instant est adapté et a perduré dans son offrande communicatif d’implosions soulevant le pouvoir. Les mémoires secondaires des Mondes stellaires sont en résonance avec les polarités exemplaires de Mère. C’est dans ce Savoir merveilleux que la mort converge vers la vie.

Commentaires fermés.