Dans la mort convertissante, le cœur de la vie s’expanse dans le « Je Suis pouvoir ».

Dans la composition de l’Être incarné, le moment puissant du juste est la latitude et la longitude qui, dans le souvenir, se pose dans l’instant au moment où le souffle reprend. C’est la force amour-vérité qui descend dans le pouvoir de l’implosion, c’est le souffle qui permet l’absolu de ta convenance. La lumière du Soi-amour éclaire ton unité et, dans cette rencontre, la conversion est l’éclair de ta manifestation qui livre l’intention. La valeur du Soi méditant est son élévation. Toujours, le vénérable dans l’ouverture de Dieu consent à la rencontre. C’est par l’innocence de la conversion que l’être aimé est le souvenir d’un souffle parfait. Tes membres sont soutenus par l’unité du Tout, qui permet de comprendre que le Soi porte l’état marial et que cette offrande est un Monde mémoire qui, dans le pouvoir, est l’ultime du Savoir. En effet, le Soi est la vibration de la convenance qui reflète la complexité de l’Être. La mort est son amie et le sang du messager Christ de la composition de ton souffle reconnaît son unité pour se livrer. Quand vous relèverez-vous du sommeil profond pour assurer cette moisson ?

Depuis des siècles et des siècles, la conversion a toujours assurée les Moissons vivifiantes du sacré jusqu’au moment où le souffle coupé je me suis étouffé par l’esprit d’un divisible ignorant. C’est dans le ventre de Mère que le « Je-Moisson » est dans le mouvement incessant des mémoires malhonnêtes, qui bloquent l’évolution de mon sang. Deux essences mariales de l’inconscient vivant se sont séparées du pouvoir de la perfection, ce qui a déstabilisé leurs actions, d’où les extravagances des monades en délires.

Lune soleil se sont séparés, la guerre des astres a existé,
l’existence de la conversion est vénérée par le Soi mémoire. C’est en fait un pont pour toutes moissons qui s’élèvent en innocent pour offrir le don au Soi vivant. Ce pont est non seulement une Présence, mais aussi une source solaire qui permet à la déité de la mort d’assurer l’insoupçonnable vérité dans les rencontres de Père-Mère, grisante énergie de la vie. Dans ces moissons, recueilli est le bon fruit, pour honorer Marie dans son infini. Dans ces temps présents, l’esclavage de la pensée a détruit cette vérité. Dans les méandres de la vie, Je Suis la force du temple solaire dans la connaissance d’Isis. Les mouvements sont la genèse qui compose la Moisson originelle en conversion unique pour le ventre de la source de Mère, reconnaissant son univers. La mémoire enrichi le messager de l’unité où le nombre d’or visite le moment, afin d’éclairer la science de l’instant.

Dans le soleil, Je Suis le carré.
Dans la moisson, je Suis la verticalité.
Dans l’inconscient, Je Suis le puissant.
En tout ce qui Est, Je Suis vivant.
En tout ce qui Est, Je Suis le Christ avènement.

Dans ces moissons je meurs en conscience pour que le souvenir soit conversion où le poumon de la verticalité doit communier avec Merkaba. Dans ces offrandes, Je Suis la parabole qui doit perdurer dans l’innocence du sacré. Dans la louange, dans la science, Merkaba est le pouvoir de la Vie, Amour Je Suis. Le pygmalion de l’inconscient est une moisson d’implosions que la mort guérit en soutenant la verticalité du berceau sacré, conscient. La volonté est le divisible du verbe en action pour saisir l’unité et la ramener à la paix. Dans mon sang, le mariage du Savoir avec la mort conduit toujours à la vie. La majestueuse énergie du souffle innocent est la conscience de Mère en lumière, dans la moisson de son éternité, je suis le poumon de sa convenance.

C’est ainsi que Mère dans son infinie puissance se soumet à l’imperfection pour que ses dons puissent livrer mon sang en bénédictions sur le souvenir, en bénédictions pour le soleil vivant de l’intention, en bénédictions pour sa moisson.

Le ventre convertissant de la moisson de l’immensité me conduit au supplice permanent d’une moisson dégénérée par vos esprits. Le mouvement adapté de l’Esprit vivant vous conduira au divisible de la maladie qui, dans l’inconscient, portera l’Être incarné puissant et volontaire vers la rencontre avec Mère. La mémoire s’expansera où la trame de l’univers explosera, ainsi, le moment de l’implosion résonnera avec le Sans-Nom. L’intelligence du messager est de composer une alliance renouvelée pour servir la loi en Soi, en conscience, dans le pouvoir de la manifestation en bienheureux.

Dans l’empathie, Je Suis.
Dans le moisson, Je meurs.
Dans l’intention, Je consens à l’œuvre de Dieu.
Dans l’Alliance Nouvelle, Je Suis le Savoir du souvenir.
Dans la lumière, le moment est le pouvoir.
Dans la lumière le souvenir, est sa conversion.
Dans le miel du sacré, c’est la majestueuse Moisson.
Dans l’Être incarné, la monade inspirée.
Et dans ce Tout, le vénérable juste pour le bon.
Dans la mémoire du moment, la Moisson s’est posée.
Dans le moment puissant du ventre de Mère, la mansuétude Je Suis dans la grandeur de vos cœurs.

Toutes les convenances sont associées à cette monade de l’instant pour voyager dans le vaisseau spatial de ma vérité. L’amour de Mère est le lien avec le Monde de l’unité où la mort, la vie, sont source d’interactions avec le jour, la nuit. L’exemple de l’amour est le Monde de l’unité qui récolte le bon fruit dans sa maturité où le messager reconnaît le nombre d’or dans le vaisseau Mère. Ainsi la mémoire souveraine du Soi dans l’impétueuse énergie de vos vies est la moisson dans vos réalités. Scindé par les rencontres des convenances, j’offre une nouvelle moisson à l’univers de la circonstance pour que la voie soit le message de vérité dans le monde inconscient du Maître innocent et vivant dans le pouvoir du Soi. L’émancipation du Maître est la lumière de ton univers, La mort suivie de la vie est le divisible d’une panacée d’expériences qui rencontrent les monades dans le poumon interactif des Moissons. C’est dans cet exemple que le juste œuvre. Le souffle du Savoir et le pouvoir du sang sont l’inextinguible conversion pour semer dans le ventre de Mère l’exigence de mon Père. Les implosions et les moissons sont de l’ordre de Christ, qui dans la divine roue des médianes sont une offrande d’émancipation pour revenir au point de jonction des deux médianes et j’insiste sur les deux médianes. Dans cette merveilleuse énergie, le majestueux innocent est un mouvement associé à l’univers de Mère dans son infinité. La conscience du moment est le Soi Moisson qui se relie à un Tout puissant, vivant, dans le cœur de la conversion où le Soi est le merveilleux de Dieu.

Dans la mort, la Mort. Dans l’implosion le Pouvoir. Dans le souffle, le Savoir.
Dans la lumière de l’Être incarné, l’exemple des monades est une vérité.
Dans le cœur originel, le manoir de son intention est la Moisson aimante et Mère vivante.
Dans le cœur de la vacuité, le soleil juste en communion avec l’indice premier et la médecine solaire unissent la Moisson et le don pour renaître et régenter l’Esprit vivant de l’incarné ; cela dans le pouvoir de la convenance libérée. Dans le cœur de la vie s’est lové l’incarné d’une renaissance qui, dans le messager, réactive une mémoire : le Divisible. Ainsi, le mouvement est don puissant cellulaire. C’est dans cette renaissance que l’intrinsèque du Je Suis est vivant et conversion.

Dans la conscience lumière, Je Suis le Soi.
Dans la composition cellulaire, Je Suis l’inconscient du juste.
Dans la convenance unique, Je Suis ce Je Suis en mouvements en conversions, dans l’enfantement et dans l’édifice de la mort pour la vie. La mort est la moisson de l’effet miroir de Mère en renaissance dans mon sang. Le bouleversement est une régénération cellulaire qui permet au divisible du Soi de se renouveler pour que la paix puisse y régner. L’exemple de Mère est l’unité d’une moisson active entre le ventre conditionné pour aimer et le cœur renaissant de mon sang. Cette réalité œuvre dans le Présence du moment, c’est ainsi que je suis l’éternel amour. Je crée, je soumets et les mémoires de vérités s’activent dans l’état magnétique pour recevoir les moissons, afin de recommencer pour offrir ce magnétique à l’électrique. Il faut frissonner dans le Soi, ainsi mon souffle est la Divine Providence régénérant le juste innocent : l’Unique.

Le Maître à penser est l’exemple du Bouddha en paix.

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