Je Suis le mouvement de Marie, Mère des Mondes infinis, je suis venu pour que la Moisson puisse vibrer dans l’unité de l’être incarné, afin d’offrir au moment l’inspiration majestueuse des monades. Mon souvenir est un souffle aimant, juste et puissant, la mort qui consent à s’impliquer, pour que le soleil puisse vibrer. Je Suis Père en Mère, en Christ vivant et je viens témoigner de la renaissance de l’éthique dans l’omniprésence de la composition cellulaire du juste et bon. En effet, la mort du « Je Suis mouvement » est un accord parfait avec l’idyllique du Sans-Nom. L’amour vénérable de l’être incarné a permis à la volonté du cœur du Moi de s’expanser vers le noyau cellulaire de l’univers d’une moisson consciente et vivante du moment. L’amour dans l’évidence est la réciprocité qu’on peut reconnaître en tout ce qui Est, par l’abondance du souvenir incarné.
Jésus Christ est mort sur la croix pour convertir le pouvoir en mémoire dans son devoir. L’exponentiel du point est une rétractation du moment vers l’intercession des moissons incandescentes, pour une culture biologique convertissante et aimante dans le Tout puissant. Jésus Christ est vivant en Esprit volontaire, pour rectifier l’essence viable d’une convenance soumise à son implosion. Venant de l’univers, le mouvement est assuré par le messager, l’Unique. Je Suis, dans cette monade inspirée, l’Esprit de la paix, l’Esprit vivant du sacré, l’ultime rencontre.
Dans la communion du mouvement adapté du juste sacré, la mort est une mémoire de libération pour continuer de créer, dans le souvenir passé, la mobilité du mouvement dans les monades des moissons généreuses du cœur de Dieu.
Jésus en Christ s’est manifesté. Que cette dictée soit lumière et paix. Bénédictions.