Dans la mort Je Suis, dans le pouvoir je renais et dans le moment je consens.

Je contemple la lumière dorée et je me soumets au rayonnement des moissons pour que la mort soit la messagère de cette rencontre, ainsi mon souvenir est une pensée active qui transmet l’offrande recomposant une offrande. Ainsi, je me développe dans la moisson pour que l’implosion du « Soi souvenir » se mette en action et développe l’intention. Je Suis la connaissance érigée vers le Sacré. Dans toutes ces manifestations, l’amour présent est un acte de charité constante, c’est alors que le mouvement dissocié d’une maladie peut être recomposer par tous les bienfaits de sa réalité. Je Suis une mémoire unique qui, dans la gestation de la mort, permet l’invitation au recommencement en reconnaissant le don comme le précieux moment du juste de l’éclosion. Ainsi, nous voyageons au travers du temps pour que le divisible soit l’instant de l’incarné expérimentant une moisson plus ou moins fusion avec l’offrande du moment.

Je vous le dis, la mort est une action du ventre de Mère qui réagit selon les monades omniprésentes du pouvoir omniscient et omnipotent. Je Suis la parabole de l’univers recréant l’univers du Puissant. Mon sang a coulé, mes mains ont tout donné et le messager est ressuscité. Tu dois être attentif au rôle de la mort pour que le Soi divin soit une moisson inconsciente de tout ce qui est vivant. L’innocence de son pouvoir est naturel, bienfaisant et convertissant. Sois vigilant à l’implosion pour ne jamais regretter de n’avoir jamais pu expanser ce mouvement qui reconnaît le bon fruit comme un élément vivant incarné dans tous les ventres.

Beaucoup d’amour et de bénédictions, beaucoup de soleil en vérité.

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