Mon souvenir est maintenant reconnecté aux monades du don.

Les convenances sont la réalité d’une moisson qui expérimente la mort comme un défi. C’est pour cela que je tiens à offrir cette moisson pour que l’instant présent soit la lueur d’un cœur régénéré. La mort généreuse est la puissance du sacré. Dans sa composition cellulaire, elle émet la vibration du salut du juste exposé au rayonnement solaire. C’est cette rencontre équidistante entre le ciel et la terre qui permet au moment présent d’être vivant. Dans ce pouvoir aéré, le changement est une moisson exultant la précarité d’une science émulsionnant le juste et le bon. La Moisson animée par cette expression, accède à la régularité d’une convenance associée à la transmutation de l’Être incarné, afin de servir la recomposition de l’état don.

Je justifie de la rencontre existentielle des monades qui, elles, s’expansent dans l’éternelle implosion de tous les instants. Boire le vin et manger le pain est un acte juste, adopté par la parabole qui permet, dans la Moisson de ce qui Est, d’éclairer le vivant.

La danse des bouleversements a commencé, l’exigence de la mort est de recréer un état plus élevé de la conscience par la science renouvelée en toutes créations. Soyez bénis et recevez le maintenant comme un état développant une rencontre aimante, charitable et paisible.

Commentaires fermés.