Dans la Moisson, je me soumets à l’interaction des convenances avec la source des messagers qui consentent à se livrer.

Dans la mort, la volonté est un édifice qui crée. Dans la vie, le miel de son cœur est une avancée vers la rencontre et sa rigueur, c’est là que je me suis posé. Christ est le pouvoir d’une recrudescence de dons qui permettent à chacun de vénérer l’explosion de l’être incarné de l’instant. Dès que le messager entreprend, il est affirmé dans le don pour la Moisson. Il ne doit jamais, en tant que messager de la Moisson originelle, s’installer dans le désordre de l’esprit. Il doit vénérer l’insondable et s’exécuter pour que son pouvoir soit lumière et paix.

Dans les circonstances actuelles, le mouvement de Mère est livré à la guerre et à sa destruction. Ton pouvoir doit se poser dans l’affirmation du Tout puissant sans jamais te questionner sur le souvenir d’antan. C’est ainsi que tu vivras les instants les plus forts du moment présent. En inspirant dans la moisson, tu reconnais le pouvoir de l’éclosion et, dans l’implosion, tu sauras que tout est science. La mort est, pour toutes immensités, la mémoire de l’être incarné. Les mains du missionnaire de paix sont l’origine de l’état fécond qui permet la conversion. Tout l’amour de la Présence est un soleil vivant qui brille comme un diamant. Voilà pourquoi Christ, dans la moisson, est le cœur de ma vérité, de ma vie.

Tu as sans doute, dans l’impression du moment, compris par l’intelligence de ton esprit, mais es-tu véritablement conscient de la conversion ? Les mémoires ont composé tous les bienfaits des Mondes qui, sacrifiés, ont été dans la rencontre de l’état don pour affirmer l’Esprit de ma paix. La vérité n’est-elle pas ce que tu es ? N’est-elle pas un mouvement adapté à ce qui Est ? Pourquoi nier ce que tu portes en toi ? Pourquoi refuser d’y entrer ? Tu es tout ce que mon sang peut composer pour les mutants, voilà pourquoi Je Suis Présent, pour te servir dans tes mouvements et me soumettre à ton intention. Tu n’es pas toujours en beauté, mais tu crées. Voilà la vérité de l’unité. Tu es pour le souvenir, l’offrande de l’incarné que tu ne dois pas déchiqueter, mais honorer par la pensée d’être vivant, tout simplement.

Sur le chemin, j’ai vu Merlin. La Moisson s’est révélée et le sacré s’est montré. C’est ce qui nous conduit, dans le ventre de Mère, à visiter le charme de sa vérité. La magie Christique est La Moisson évidente du Sans-Nom.

Je vous soumets mes bénédictions. Que vous soyez tous dans le reflet de cette connaissance pour honorer le fruit de la bienséance.

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