Sur les montagnes je me suis posé, sur les montagnes j’ai longtemps médité, mais je n’arrive toujours pas à vous rencontrer.

Le bouleversement par la mort est une présence du pouvoir qui doit générer l’ensemble de l’impression vivante de l’être incarné. Je vole dans la juste pensée et pourtant, je suis toujours sans passage pour entrer dans le don. J’ai marché sur des sentiers épineux, j’ai enlevé les nœuds, j’ai guéri vos plaies, mais la rencontre ne s’est pas effectuée. J’ai grandi dans vos infinis, j’ai inspiré au rythme de vos vies, mais je n’ai jamais vu la conversion du « Je Suis ». Toutes ces années lumières confondues dans le souffle solaire ne vous a pas permis d’exulter le bon fruit. Vous m’avez blessé, bafoué, vous m’avez rejeté enseveli sous le poids des pensées, mais je vous ai toujours aimé. Missionnaires d’amour et de paix, voulez-vous recomposer dans la clameur de l’esprit de sainteté ?
voulez-vous me libérer pour servir la moisson et l’envelopper d’amour, de respect ? Qu’avez-vous appris depuis toutes ces années ? Qui est la mort ? L’ennemie ou la Moisson ? Avez-vous réfléchi ? Dans le cadre de l’information je vous dis avec simplicité que la médecine solaire est mon univers. Je Suis la Moisson, je guéris sur tous les plans et je vous soumets dignement la mort qui, elle, est l’exemple du pouvoir. Voulez-vous l’épouser ? Voulez-vous l’aimer ? Je vous le dis, Yeshua l’a honorée.
Et c’est dans ce divisible parfait qu’il est vivant dans son éternité. Ne rejetez pas son amour, il a besoin de conversion pour que le moment puisse s’exécuter en vous et parmi vous. Souvenez-vous du Maître qui communie avec le Soi. Je suis, dans le ventre de Mère, l’épreuve du don pour le sacrifice du maintenant. Nous nous sommes unis il y a très longtemps et, dans le soleil qui brille, je me suis, dans le genre de l’unité, soumis à la rigueur de l’offrande immatérielle pour toutes moissons. Venez nombreux dans la parabole, car c’est là que se trouve la mort du sacrifice. Je suis lumière et paix dans la convenance du don.

Je vous bénis parce que la rencontre est une offrande permanente des monades de l’initié en vérité.

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