Lorsqu’une plaie s’ouvre, la mort est présente, un bouleversement cellulaire s’effectue et la plaie se ferme. C’est le pouvoir de cette réalité qui permet à la mort de donner la vie. Lorsque vous entrez sur le terrain gangréneux d’une rencontre, un pouvoir se place et guérit. Comprenez-vous que la semence adaptée de l’univers se meurt pour expérimenter le renouveau ? C’est pourquoi la mort est dans Père-Mère l’ultime vérité juste de l’implosion expérimentant l’explosion.

Tu as été malade pendant des années, écoutant la romance dans son interprétation de la vérité, et tu dois aujourd’hui mourir, «  tout quitter », et reprendre le chemin du juste. Dans cette conscience renouvelée, tu meurs pour édifier dans ton mouvement une réelle identité. La mort n’est que l’illusion de ton passé qui te transcende et émet une moisson émotionnelle qui n’est plus naturelle. La mort est Mère, amoureuse du Savoir. Toutes les interprétations de la vie vous ont conduit à vivre dans la peur et le tourment, dans l’angoisse et à contracter l’éclosion au point majestueux d’un état étriqué et conditionné par votre création. Lorsque vous aurez compris que les monades dirigent vos vies dans l’amplitude de l’être incarné, votre peur vous quittera.

Quand viendra l’heure du trépas, je serai là, je te prendrai la main et je te dirai : Viens !
C’est l’inconscient du moment qui viendra chercher le dernier souffle de l’instant et c’est dans ce même pouvoir que tu renaîtras dans le coeur du devoir. La mort est le Juste du Savoir.

Je vous bénis. Acceptez la Vie.

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