Je Suis la Moisson de la parabole des monades, Jésus Christ Je Suis.

Dans les mémoires du passé j’ai voyagé. J’ai porté la divinité du souvenir avec honneur et respect. Les monades ont projeté l’éternité pour que l’éthique de la mort soit reconnue. J’ai ensemencé la terre pour que les moissons soient régénérantes, pour que les moissons soient justes, aimantes et tolérantes, mais j’ai aussi, dans le pouvoir de l’incarné, implosé dans le mouvement adapté afin d’exploser dans la roue des Maîtres et permettre à celui qui, dans le pouvoir est entré, de servir la loi comme je l’ai fait. C’est ici que j’attends la divinité de l’immuable Savoir pour construire dans la mort, ma volonté. Dans cette disposition, les Maîtres doivent se rassembler, prier pour l’humanité et pour toutes immensités désemparées.

Je suis venu en tant qu’Esprit afin d’honorer la mort juste et inextinguible en tout ce qui Est. Les monades ont fléchi pour que l’esprit de vie puisse s’impliquer dans le ventre de Mère et redonner l’élan généreux de la moisson recomposant la Moisson. En esprit de paix et d’amour, le Savoir se renouvelle dans l’espoir. Je reconnais la note vibratoire, celle qui chante la vie où je rencontre le souvenir. C’est parce que j’ai rencontré la plénitude que je peux me laisser glisser dans la mort pour la vie.

Mes plaies ne sont pas fermées parce que vous les aimez. Vous honorez le passé et vous ne vivez à aucun moment la vie dans sa vérité. Pourquoi ai-je été sacrifié ? De jours, de nuits, je suis hanté par le souvenir parce que vous me forcez à y rester. Prenez conscience qu’aujourd’hui le passé est terminé et que la vie s’est régénérée. Je suis un Esprit vivant en chacun de vous qui vous permet aujourd’hui d’être conscient de la vérité que vous portez. Il n’y a que la conversion qui pourra vous sauver. Mettez la croix d’olivier de côté, mettez la crucifixion dans le passé et restez vivant dans l’instant, c’est que je vous demande humblement. Merci d’avoir compris.

Le Monde lumière est sur Terre, je vous bénis, soyez en paix.

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