Le changement est une moisson qu’il faut cultiver au travers des transformations et des expériences du moment. Je Suis.

La magnitude du soleil est une offrande de moisson régulière qui permet à l’univers amoureux de composer l’éthéré d’une future moisson. C’est dans les éléments que l’extraordinaire du mouvement équilibré s’effectue pour soulever le principe premier et le conduire à s’expanser, pour dominer un raz-de-marée qui pousse les monades vers un point d’ancrage qui est la rencontre.

Dans cet état, le divisible cellulaire s’excite et le souvenir rappelle constamment qu’il y a une moisson à répéter dans son éternité. C’est ainsi que les cellules se démultiplient et consentent à créer, dans le moment, le changement. Si vous avez remarqués le souffle de vos vies, il est constitué de moissons au service de la loi cellulaire. La mort est une offrande qui permet la vie initiatique évoluant vers d’autres plans pour créer dans l’expansion la moisson originelle du juste et bon. C’est tout au début des Mondes que l’exemple s’est placé dans la monade de l’informe et a servi la communion pour un ensemble parfait, mais c’est aussi la moisson révélée pour offrir lu juste vivant à l’instant. Si tu te poses dans cette rencontre, le souvenir va être expérimenté dans la monade de ton sacré, l’évidence sera éclairée. Je ne suis pas dans le souvenir, je suis la renaissance exiguë du point d’une réalité pour se régénérer dans la moisson, afin que l’exemple soit démontré par le biais de la mort pour la vie.

J’ai donc sur mes pieds la plaie du passé, car vous m’avez tenu prisonnier de votre croix, exempté de sacrifice. Le pouvoir n’est plus, puisque je ne suis ni honoré, ni compris, ni « sacrifié ». Je suis figé dans vos cellules où le souvenir ne peut plus s’expanser. Tu m’as donc, en conscience, aimé dans une essence de maladie où je ne peux pas inspirer comme je l’entends. C’est pourquoi je te demande de m’aimer, de m’honorer et de me considérer pour que je puisse retrouver ma liberté.

Si tu veux vivre la paix, si tu veux servir la loi : consens à la mort pour la vie.

Merci de m’avoir compris, car aujourd’hui, le souvenir de la mort est un état d’être qui doit servir la loi de l’Être. Je vous le dis, en vérité, maintenant le changement est posé.

Avec toutes mes bénédictions, le Vouloir est une moisson qu’il faut cultiver pour expérimenter le bon fruit de la vie. Lumière, Je Suis.

Commentaires fermés.